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mercredi, décembre 18, 2024
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Aide au développement : Le Système des Nations Unies concrétise son plan cadre à 523 millions de dollars

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L’atelier de validation de l’UNDAF, hier, a été co-présidé par la coordonnatrice résidente du Système des Nations Unies, Fatma Samoura et le ministre de l’Economie et de la Planification, le général de division Herilanto Raveloharison.
L’atelier de validation de l’UNDAF, hier, a été co-présidé par la coordonnatrice résidente du Système des Nations Unies, Fatma Samoura et le ministre de l’Economie et de la Planification, le général de division Herilanto Raveloharison.
L’atelier de validation de l’UNDAF, hier, a été co-présidé par la coordonnatrice résidente du Système des Nations Unies, Fatma Samoura et le ministre de l’Economie et de la Planification, le général de division Herilanto Raveloharison.

Le plan cadre des Nations Unies pour l’aide au développement (UNDAF) vient d’être validé, hier, avec trois résultats majeurs attendus d’ici 2019 : la réduction à 40 % de l’extrême pauvreté ; l’augmentation à 15 % du pourcentage des dépenses publiques gérées par les collectivités territoriales décentralisées et l’accès aux services de base de qualité.

Après la présentation et l’adoption de la politique générale de l’Etat (PGE), le Système des Nations Unies concrétise son appui au développement, procédant à la validation, hier, du plan cadre des Nations Unies pour l’aide au développement (UNDAF). A mettre en œuvre sur 5 ans, de 2015 à 2019, les programmes de ce plan cadre totalisent un coût de 523,4 millions USD, dont 53,1 % sont à mobiliser.

Ce document dont l’élaboration a été précédée d’une évaluation du précédent UNDAF et d’un bilan commun de pays (2012), avec une analyse profonde des problèmes de développement et des priorités à court et à moyen termes, a été présenté comme l’instrument clé pour assurer une meilleure efficacité à l’appui fourni par le SNU à la Grande Ile. C’est à ce titre que le suivi des OMD, entre autres travaux d’analyse, a été une étape incontournable dans le processus, avant d’aboutir à la formulation de l’UNDAF 2015-2019. Des revues annuelles et une revue à mi-parcours de l’UNDAF, permettront d’y apporter d’éventuels réajustements.

Résultats majeurs. De ce document, trois résultats majeurs sont attendus d’ici à 2019 et qui vont contribuer à la réalisation de la PGE. Primo, la réduction du taux de l’extrême pauvreté à 40 %, si ce taux était de 52,7 % en 2012. Cela devra se traduire par l’accès par les populations vulnérables aux opportunités de revenus et d’emplois, et par l’amélioration de leurs capacités de résilience. Second effet attendu de la mise en œuvre de ce plan cadre : l’augmentation à 15 % le pourcentage des dépenses publiques sous la responsabilité des entités territoriales décentralisées et déconcentrées, avec un objectif de contribution significative au développement régional. En effet, 95 % du budget national sont gérés au niveau central et seulement une infime partie, 5 % (en 2010) le sont par les collectivités territoriales décentralisées. Ces dernières se voient pourtant confier des responsabilités qui ne sont pas en adéquation avec les ressources budgétaires mises à leur disposition. Elles sont alors constamment freinées, voire bloquées, dans leurs élans en matière de mise en œuvre de leurs initiatives de développement au niveau régional. Si ce second résultat majeur de l’UNDAF sera atteint, les institutions publiques, la société civile et les médias, au niveau central et décentralisé, devront alors être, d’ici à 2019, en situation d’exercer efficacement leurs rôles et être redevables pour une gouvernance apaisée et protectrice des droits humains.

Le troisième résultat majeur attendu de la mise en œuvre de ce document, a trait à l’accès aux services sociaux pérennes et de qualité. L’éducation, la santé, la mortalité maternelle et infantile, l’accès à l’eau potable, sont notamment les secteurs concernés. Le changement attendu d’ici à 2019 est la réduction à 37 % (contre 47 % en 2012) du taux de prévalence de la malnutrition chronique parmi les enfants de moins de 5 ans. De même, on s’attendra à réduire à 47 le nombre de décès d’enfants de moins de 5 ans pour 1 000 naissances vivantes (contre 62 en 2012) et à 400 le nombre de décès maternels pour 100 000 naissances vivantes (contre 478 en 2012). Quant à l’universalisation de l’éducation, on s’attendra à une augmentation à 90 %, contre 69,4 % en 2012, du taux net de scolarisation. Sur le plan de l’assainissement, le plan cadre vise à augmenter la proportion de la population utilisant respectivement des infrastructures d’assainissement améliorées à 18,5 % (contre 14 % en 2011) et des infrastructures d’eau améliorées à 52 % contre 48 % il y a encore trois ans. Et enfin, dans le domaine de la santé, il est prévu de réduire le taux d’incidence du VIH à 0,02 % et celui du paludisme à 10 pour 1 000 habitants par an.

Prévue d’être mis en œuvre dès janvier 2015, l’UNDAF regroupe les réponses collectives du SNU face aux défis sociaux, économiques et politiques à Madagascar. Après sa validation, hier, la signature de l’UNDAF, avec le Premier ministre, est prévue pour le 10 juin 2014.

Hanitra R.

Distribution pétrolière : New look pour les pompistes de Galana

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Chaque responsable de poste des stations-service Galana a sa propre tenue.
Chaque responsable de poste des stations-service Galana a sa propre tenue.
Chaque responsable de poste des stations-service Galana a sa propre tenue.

Concurrence oblige. Les compagnies de distribution pétrolière rivalisent de créativité pour mieux satisfaire les usagers. A l’instar de Galana qui vient de doter le personnel de son réseau de distribution de nouvelles tenues vestimentaires. A partir de demain, les pompistes de Galana arboreront un nouveau look qui, bien évidemment, permettra à ces derniers de mieux assumer leur travail, mais également et surtout de satisfaire les clients. « En tant qu’entreprise résolument tournée vers les clients, nous sommes constamment à la recherche de tous les moyens pour améliorer nos services » devait d’ailleurs déclarer Frédéric Anne, le Directeur commercial et marketing de Galana lors de la présentation de ces nouvelles tenues vestimentaires.

Des tenues qualité-export qui ont été fabriquées par une entreprise locale en respect des normes sécuritaires en vigueur. Dynamiques, professionnelles, modernes et réalisées dans un style associé au monde automobile, ces tenues sont munies de bandes auto-réfléchissantes accroissant la visibilité de nuit des pompistes sur la piste. Fabriquées en tissus en coton plus résistants, elles répondant aux standards de la profession. Avec une couleur grise qui est moins salissante et plus résistante aux UV, ces tenues sont, en tout cas agréables à porter pour le personnel de station qui seront évidemment fiers de servir les clients avec un nouveau look. Au grand plaisir des utilisateurs et des automobilistes qui auront encore plus la sensation d’un accueil et des services dignes d’un vrai professionnel du métier. A noter que l’ensemble du réseau des 65 stations-service de Galana réparties dans tout le territoire arboreront ces nouvelles tenues.

R.Edmond.

Classement orange levé

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Les autorités françaises ont répondu favorablement à la volonté affichée et les mesures de sécurisation de l’Ile Nosy-Be réalisées par le Président de la République samedi dernier. En effet, on peut lire sur le site du Quai d’Orsay dans la rubrique dernière minute, la bonne nouvelle suivante. « Nosy-Be : S’agissant de la sécurité, le calme observé depuis plusieurs semaines tient notamment au renforcement des moyens humains et matériels mis à la disposition des forces de l’ordre. Le classement en zone orange (déconseillé sauf raison impérative) est levé. Il convient toutefois de faire preuve d’une vigilance renforcée : la plus grande attention doit être apportée aux conseils donnés, pour Nosy- Be et les sites touristiques de manière générale, dans l’onglet « Sécurité » ».

Classement orange levé

             La carte de Madagascar qui apparaît sur la page «sécurité» du site est maintenant de couleur jaune, c’est-à-dire « vigilance renforcée » et non plus « rouge » qui veut dire « fortement déconseillé » ou « orange» « déconseillé sauf raison impérative »comme ce fut le cas de Nosy-Be.   Le secteur touristique peut désormais pousser un ouf de soulagement. Les touristes français pourront mettre la balance de leur programme de voyage la destination Madagascar. Les autorités françaises leur demandent néanmoins de redoubler de vigilance. La situation sécuritaire dans la Capitale et dans les grandes villes (Tamatave, Majunga, Tuléar, Diego Suarez), est toujours à la dégradation. D’après les autorités françaises, « les vols et agressions avec violences dont ont été victimes récemment, plusieurs personnes soulignent la dégradation de la situation sécuritaire à Tananarive et dans les grandes villes. Aucune zone n’est épargnée et en particulier les lieux fréquentés par les touristes (sites connus, restaurants, promenades, marchés). Il est recommandé d’être plus que jamais vigilant, y compris dans les lieux apparemment calmes et les restaurants. Lors de déplacements à pied, en journée, il est conseillé de porter le moins possible d’effets personnels (objets de valeur et sacs à éviter)». Quoi qu’il en soit, le passage de la couleur orange à celle jaune de Nosy-Be nourrit l’espoir que les jours fastes du tourisme ne seront plus perturbés par des mouvements d’humeur hostile qui nuit à l’image du secteur. Les forces de l’ordre de l’Ile ont reçu une enveloppe budgétaire qui leur permettra de jouer pleinement leur rôle de sécurisation.   D’après les conseils, les touristes français doivent surtout être vigilants dans le Sud, s’ils s’y aventurent. En effet, « la fréquentation de la plage de la Batterie, située au Nord de la ville de Tuléar, doit impérativement être évitée, en raison d’agressions d’une exceptionnelle violence tandis que sur la Rivière Tsiribihina, certaines sections de la rivière sont dangereuses en raison d’attaques par des bandits armés », d’après le Quai d’ Orsay qui délivre ces conseils. Mais une chose est sûre, grâce aux mesures prises en haut lieu, le tourisme malgache est en train de remonter la pente dans laquelle elle se trouvait.

Zo Rakotoseheno

Commune rurale Talatamaty : Début des réparations de l’embouchure d’Ankotrika

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Les travaux relatifs à la réparation de l’embouchure de la plaine d’Ankotrika Ankadivory dans la commune rurale de Talatamaty seront achevés après un mois, s’ils ont commencé hier, suite à l’initiative du Dr Rado Adrien Razafindratsimba, Maire de ladite commune. Une situation qui permettra à environ 700 foyers d’en tirer profit. «Vu que cette infrastructure est très vieille, auparavant, les risques d’inondation ont été toujours élevés, menaçant la grande plaine avec ses rizières. Mais désormais, il n’y aura plus rien à craindre», rassure le Maire. En fait, d’après les explications, l’existence d’une collaboration avec l’APIPA a pu rendre possible son entretien. Mais ces derniers temps, celle-ci a connu un arrêt. Ce qui aurait accéléré sa destruction. Toutes les dépenses occasionnées par cette réparation seront prises en charge par le Maire de la commune rurale de Talatamaty, avec l’appui du « Fikambanana Mpampiasa Rano » ou FMR. Et le coût total des travaux est estimé à 2 millions d’Ar.

Fête de l’Indépendance. A noter que la commune en question compte 56 000 habitants dans ses 12 « fokontany ». Depuis quelque temps, de nombreuses infrastructures qui ont fait l’objet d’une plainte des habitants ont pu être remises en état, et d’autres sont encore en cours de réparation, entre autres, des lavoirs publics, des bornes-fontaines, des routes, des éclairages publics, etc. A titre d’exemple, une voie de 300m à Imerinafovoany sera remise en état après 20 jours. Et celle d’Ambohinambo (300 m) le sera également dans 2 mois et demi. «Même l’administration n’a rien fait alors que ces routes ont été particulièrement endommagées et avaient vraiment besoin de réparations», soutient le Dr Rado Adrien Razafindratsimba. Et les financements de tous ces travaux proviennent entièrement de la C.R. de Talatamaty, avec ses partenaires, a-t-on indiqué. « Ce qui reste à faire, c’est de mettre en place un complexe sportif pour les jeunes, à Maibahoaka, suivie d’une construction d’un terrain de foot respectant les normes, dans le même endroit», conclut le Maire. Et pour s’assurer que la fête de l’indépendance ne passe pas inaperçue, ladite commune prépare de nombreux événements: notamment des rencontres sportives, des « vakodrazana », des circoncisions et création de copies de naissance collectives, un grand festival de la musique… Tout ceci va durer un mois et demi, et sera inauguré par un culte à l’église FJKM Ambohinambo.

Arnaud R.

Antsirabe : Fiarakodia nivadika nahafaty olona iray

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Ny 18 mey 2014 vao mangiran-dratsy no nisehoan’ny lozam-pifamoivozana teo amin’ny RN34 (PK1O9+700) tao Dongavaohita. Teo amin’ny lala-mahitsy iray mivoaka ny tanàna no nandeha mafy ity fiara 4×4 Mitsibushi double cabine tsy mataho-dalana, tsy voatana intsony ny familiana tamin’ity fiara ka nivarina tany anaty hantsana.

Somary lalindalina ihany ity hantsana ity,satria mirefy folo metatra eo ho eo .Vokatr’izany fandehanana mafy izany dia nivadibadika ilay fiara ka lavidavitry ny arabe vao tafajanona. Olona 5 no tao anatin’ity fiara ity ka lehilahy iray 44 taona no maty avy hatrany, ny efatra ambiny kosa dia naratra mafy ary nalefa tany amin’ny hopitalin’ Andranomadio Antsirabe nomena ny fitsaboana sahaza azy ireo. Vao naheno izany ireo zandary dia nidina tany an-toerana niaraka tamin’ny dokotera nanao ny fizahana. Ny razana kosa dia efa nomena ny havany.Ampitandremina ireo mpamily ihany fa ny fandehanana mafy loatra matetika dia miteraka loza sy fahafatesana na koa fahasimbana eo amin’ny fiara izay mitera-doza toy izao.

ALEM

Fort-Dauphin, une ville sans délestage grâce au partenariat Jirama-QMM

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Le Président de la République Hery Rajaonarimampianina l’a promis. Le problème de délestage sera résolu dans beaucoup d’endroits du pays dans les trois mois qui viennent. Mais pour la ville de Fort-Dauphin, le délestage n’est plus d’actualité.

Doublement avantageux. En effet, grâce à un partenariat entre la JIRAMA et la compagnie minière Rio-Tinto QMM, la ville de Fort-Dauphin dispose d’une puissance suffisante pour couvrir les demandes. Alors qu’avant ce partenariat , les installations de la Jirama étaient obsolètes et peu fiables et surtout constituées de groupes électrogènes consommant énormément de gas-oil, actuellement la fourniture d’énergie électrique est largement suffisante. Et le partenariat entre la Jirama a surtout le mérite d’être doublement avantageux. Faut-il en effet rappeler que compte tenu de l’incapacité de la Jirama à fournir l’énergie nécessaire pour faire tourner les installations de QMM, cette dernière était contrainte de monter elle-même sa propre centrale électrique. Une opération qui a été réalisée dans les normes et d’une manière très rapide. Mais les deux parties ne sont pas restées là, puisque la Jirama a sollicité QMM à investir pour la production de puissances additionnelles à mettre à la disposition de la population. QMM a évidemment accepté avec comme seule condition de faire en sorte que le prix payé par la Jirama pour cette puissance et fourniture d’électricité permette d’amortir les investissements réalisés et de rembourser l’ensemble des coûts de maintenance et de production sur une période de 10 ans.

Partenariat pour le développement. Une formule gagnante pour les deux parties, et surtout pour la population qui dispose donc actuellement d’une fourniture d’énergie électrique permanente et de bonne qualité. Les rares coupures sont essentiellement dues aux maintenances et programmés pour assurer la pérennité des installations. Dans le contrat signé entre les deux parties, c’est QMM qui produit l’électricité à charge pour la Jirama de l’acheter et de la distribuer aux usagers.   Compte tenu de son utilité et de son efficacité, ce partenariat bénéficie, par ailleurs de l’appui de la Banque Mondiale, à travers le projet PIC. Un exemple parfait de partenariat pour le développement socio-économique.

R.Edmond.

Sœur Fabiola : Ses disciples dans l’attente de sa …résurrection !

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Sœur Fabiola avait déjà affirmé avoir « connu la mort une première fois et revenue pour diffuser un message de Dieu à la nation ».
Sœur Fabiola avait déjà affirmé avoir « connu la mort une première fois et revenue pour diffuser un message de Dieu à la nation ».
Sœur Fabiola avait déjà affirmé avoir « connu la mort une première fois et revenue pour diffuser un message de Dieu à la nation ».

« Sœur Fabiola » est décédée. Mais pas pour longtemps, assurent ses disciples venus faire part de la nouvelle à la presse. Elle ressuscitera dans trois jours. Le public a découvert l’histoire de cette femme lorsqu’elle a affirmé avoir déjà été morte, puis revenue d’entre les morts pour diffuser un message divin. D’après les dires de l’un de ses disciples, l’« apôtre Zelota », elle a annoncé le week-end dernier à ses disciples et à l’église qu’elle dirige, sa mort imminente et sa résurrection, œuvre de Jésus, prévue trois jours après. Et elle a effectivement rendu l’âme lundi à 5h du matin. Depuis, ses disciples et les fidèles de son église suivent à la lettre les instructions laissées par la défunte : retourner régulièrement le corps et attendre « le » signe qu’elle enverra, puis emmener aussitôt son corps dans un grand hôpital de la capitale pour que sa prophétie puisse s’accomplir. Le corps de Sœur Fabiola se trouve actuellement dans le lieu qui abrite l’église à Ankerana.

On se rappelle d’un autre cas similaire, l’an dernier, celui d’un pasteur d’une église, à Mahajanga, dont la résurrection a été attendue, en vain, par ses fidèles. Les autorités ont dû procéder à l’inhumation car de résurrection, il n’y eut point. Pour Sœur Fabiola, ses disciples ne doutent pas une seule seconde de la véracité de sa prophétie et veillent autour de la dépouille depuis deux jours et une nuit. Ils attendent sa résurrection, annoncée pour demain…

Hanitra R.

Fanafihana ny M’Vola : Tsy mety misy miteny ny manodidina

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Efa nalefa ny fanadihadiana teo amin’ny manodidina sy ireo izay mety ho nahita ireo jiolahy nanafika. Saingy mbola tsy namokatra izany hatramin’izao satria nanidy vava avokoa izay nanontaniana. Ny anton’izany dia noho ny tahotra sao hisy valifaty na koa tahotra ny mpitandro filaminana. Hatreto dia miompana amin’ny fitsirihana ny bala izay nitifirana ny rindrina ny fanadihadiana. “Anatin’ny fanadihadiana tanteraka izahay ary ny tsikaritra dia nananosarotra izany ny tsy fijoroan’ny olon-tsotra vavolombelona” raha ny fanazavana azo tamin’ny pôlisy. Raha tsiahivina dia vola 11 tapitrisa ariary tao anaty sakaosy izay nentin’ny olona iray nandeha “scooter” no noraofin’ireo jiolahy roa mitam-basy. Rehefa avy nitifitra rindrina izy ireo dia nivoaka toa ny olon-tsotra ary nandeha tsy nisy fanahiana teny amin’ny arabe. Izany hoe marobe no nahita azy roalahy niaraka tamin’ny basy sy ny vola. Na izany aza anefa tsy nisy iray akory, mba nitantara izay hitany. Tsy mainka ve ny toa izany mandrisika ny jiolahy handroba?

D.R

Lutte – Championnat d’Afrique : Les lutteurs en action ce jour

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Les deux lutteurs malgaches engagés pour les Championnats d’Afrique cadets et juniors qui se disputent actuellement à Alexandrie, Egypte monteront sur le tapis ce jour. Antonio Andriamalala (54 kg) affrontera le Marocain Abdel Jalil au premier tour et Solofo Ramananarivo (46 kg) défiera le Tunisien Homed Akrem.

Ces sommets continentaux constituent un tournoi de qualification pour les Jeux Olympiques de la Jeunesse ou JOJ à Nanjing, Chine au mois d’août prochain.

T.H

Lutte contre l’insécurité : Monja Roindefo disposé à apporter son soutien

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L’ancien Premier ministre de la HAT, Monja Roindefo, en tant qu’originaire de la partie Sud de la Grande Ile n’entend pas rester bras ballants face à la situation d’insécurité et l’affrontement entre civils à Amboasary Sud. En effet, le président national du Monima envisage d’apporter prochainement des éléments d’éclaircissement sur cette situation dont il considère comme « une véritable tragédie humaine ». Samedi dernier, Monja Roindefo a réuni les originaires du Sud résidant à Antananarivo pour un échange d’informations à propos de cette affaire. Il a aussi commencé à alerter l’opinion internationale afin d’encourager l’élaboration d’une stratégie pour venir en aide à cette population « en détresse ». Toujours dans le cadre de cette « action », l’ancien Premier ministre de la HAT a eu hier un entretien avec l’Ambassadeur sud-africain résidant à Madagascar. Une rencontre d’une heure et demie au cours de laquelle les deux personnalités ont discuté notamment de cette situation d’insécurité. Il convient de noter que Monja Roindefo prévoit aussi de rencontrer prochainement quelques représentations clés de la diplomatie internationale à Madagascar. L’ancien locataire de Mahazoarivo qui se dit, disposé à apporter son soutien pour régler ce problème dans le Sud, est actuellement en contact avec les dirigeants actuels à propos de cette situation.

Davis R