Olona telo no nosamborin’ny zandary ary natolotra ny fampanoavana omaly rehefa voarohirohy ho tompon’antoka tamin’ny fanafihana izay nitarika ny fahafatesan’ny filoham-pokontany tao Fenosoa-Ambalavao. Raha ny fanazavan’ny zandary dia Néné ny anaran’ny mpitarika ity fikambanan-jiolahy ity. Efa tafiditra tamin’ny raharaha mahakasika fanafihana maromaro io farany.
D.R
D’après Hajo Andrianainarivelo, « le MMM proposera un projet de loi relatif au Code des Collectivités Territoriales Décentralisées et la création de nouvelles communes, de nouvelles régions et de nouveaux districts ». Hier, l’ancien vice-Premier ministre a confirmé le soutien indéfectible du MMM au président Hery Rajaonarimampianina. Un soutien qui, selon ses dires est dû au fait que le nouvel homme fort de Madagascar a accepté de réaliser une grande partie des programmes de Société du MMM, entre autres, la gratuité de l’éducation dans les écoles publiques et le renforcement de la lutte contre la corruption. Questionné sur l’avis de la HCC publié hier, Hajo Andrianainarivelo de déclarer que le MMM se soumet à cette décision. « Si le MAPAR propose le PM en tant que parti majoritaire légalement constitué, nous acceptons cette décision », a-t-il soutenu. Et lui de rappeler cependant que « le parti majoritaire propose un nom mais la prise de décision revient uniquement au président ». Selon ses dires, « une entente entre le président et le groupe majoritaire est importante pour que l’Exécutif ne soit pas bloqué. Il nous faut un Premier ministre capable d’exécuter les programmes du président ». On a également appris que le MMM ne présentera aucun candidat à la Présidence de l’Assemblée nationale.
Davis R
Les dépenses en soins de santé peuvent engloutir, en seulement quelques jours, un ou plusieurs mois de salaire pour les ménages, dont les gains mensuels avoisinent le salaire minimum d’embauche.
Malgré la gratuité des soins dans les centres de santé publics, les médicaments restent payants et nombreux sont les ménages qui n’ont pas les moyens de le faire. En dépit de l’existence des fonds d’équité et autres systèmes permettant aux plus démunis d’avoir accès à des soins et aux médicaments dans les établissements publics, nombreux sont les malades qui n’appartiennent certes pas à la catégorie sociale des « plus démunis » pour bénéficier des avantages de ce système, mais qui ont, malgré tout, des difficultés pour subvenir à leurs besoins en matière de santé. Lorsqu’il s’agit de salarié dans le secteur privé, la situation est encore plus complexe dans la mesure où les systèmes de protection sociale dont ils bénéficient ne leur permettent pas toujours de couvrir les dépenses de santé les plus onéreuses.
Onéreux. Lunettes, prothèses divers, imageries médicales, mais également les soins dentaires et surtout les hospitalisations figurent parmi les plus coûteux. Ils ne sont, toutefois, pas couverts à un pourcentage satisfaisant, par les systèmes de protection sociale dont ils bénéficient. « Pour les maladies peu graves, le système présente des avantages car on ne paie pas, ou seulement une partie des honoraires de consultation et des factures de médicaments. Mais lorsque les ennuis de santé sont plus sérieux, alors, les choses se compliquent car certains types de soins ne sont pas couverts, et certains médicaments ne sont pas disponibles auprès des établissements de soins conventionnés. Alors les malades doivent les trouver ailleurs et les payer entièrement par leurs propres moyens. Or, c’est lorsque les coûts sont élevés que les petits salariés ont besoin des systèmes de prise en charge sociale, sinon à quoi cela servirait-il ? », déclare Herilalao, salariée dans une entreprise privée d’Antananarivo.
Plafonds. Tout dépend, en réalité, des entreprises et des choix adoptés par celles-ci en termes de prise en charge sociale au profit de leurs employés. Dans la majorité des cas, les formules adoptées fixent un pourcentage des prises en charge et/ou fixent un plafond annuel à ne pas dépasser en termes de coûts relatifs aux soins de santé. Il en est de même pour les hospitalisations, avec des plafonds correspondants aux catégories dans lesquelles sont classés les salariés de l’entreprise en fonction de leur grade. Mais force est de constater que ce ne sont pas toutes les entreprises qui disposent de ce type de système de prise en charge en matière de santé. Nombreuses sont, en effet, les sociétés qui sont en situation d’illégalité devant la loi en termes de protection sociale : salariés non déclarés, cotisations non versées, etc. Les salariés se retrouvent, de ce fait, vulnérables et leurs droits, bafoués. De telles situations se sont multipliées durant la crise malgache et tendent à devenir une pratique courante.
Hanitra R.
Notsaraina omaly ny vehivavy iray, teratany malagasy, voarohirohy tamin’ny famonoana teratany vahiny tao amin’ny nosy La réunion. Mpampianatra efa misotro ronono, 69 taona, ilay namoy ny ainy ka nitarika raharaham-pitsarana lavareny. Tao an-tranony izy no hita faty tamin’ny 23 janoary 2011, izany hoe roa taona lasa izay, ary voamarin’ny fitiliana fa novonoina. Tsy iza fa ny vadiny ihany no tena tao anatin’ny raharaha rehefa nandeha ny fanadihadian’ny mpitandro ny filaminana. Ny porofo nentin’ireo farany tamin’izany, raha araka ny loharanom-baovao izay efa notaterin’ny gazety any an-toerana rahateo, dia noho ilay ramatoa tsy taitra firy noho ny fahafatesam-badiny. Teo ihany koa ny nahitana taozavatra vita Malagasy, toa ny lefona. Asa na fifanandrifian-javatra na koa nisy namandrika ilay ramatoa, fa hita teo amin’ny tratran’ny razana io fitaovam-piadiana izay miendrika taozavatra io, ary nihoson-drà, tamin’ny fotoana nahatongavan’ny mpitandro ny filaminana. Fofona maimbo nivoaka tao amin’ny efitrano nisy ny faty no nanaitra ny manodidina ka nahatonga azy ireo hiantso ny manam-pahefana. Nitsipaka hatramin’ny farany ny fiampangana azy ilay teratany malagasy tao anatin’izay roa taona nandehanan’ny raharaham-pitsarana izay.
D.R
Ny alakamisy maraina lasa teo, raha iny naka rivotra iny ilay tovovavy vao 18 taona monja no nitsahan’ ity fiara Opel Astra ity ny tongony. Mpitsabo vao miana-mitondra fiara moa ity rangahy ity, natao ary ny fifanekena fa hiantohan’ ity tompon’ ny fiara izay lany rehetra sy ny fifezivezena amin’ ny fitsaboana . Ankehitriny anefa dia nolaviny daholo izay fifanekena nataony. Lazainy ho mahafantatra olona ambony be dia be ao amin’ ny fitondrana hono mantsy izy.
ALEM
Le candidat malheureux au dernier scrutin présidentiel, Jean Louis Robinson, estime que le Premier ministre devrait être un homme nouveau. Autrement dit, « redoublement zéro », c’est-à-dire pas de reconduction. Un homme qui a les compétences requises mais également un nationaliste. Par ailleurs, le candidat de Avana de rappeler que le score a été serré, lors du deuxième tour, entre lui et le candidat de « Hery Vaovao ho an’i Madagasikara ». Et que leurs programmes sont complémentaires. En outre, il se dit prêt à se donner la main au nouveau président de la République. Il lance également un appel à la communauté internationale pour apporter son soutien à la Grande Ile, notamment sur le plan économique.
Recueillis par Dominique R.
Le Grand Port qui a tenu malgré la crise renoue à partir de cette année avec les grands projets qui vont révolutionner le transport maritime malgache
Une année charnière. 2014 le sera pour le port de Toamasina qui va reprendre les chantiers. Notamment le projet d’extension en partenariat avec le gouvernement japonais dont les relations avec Madagascar sont en train de reprendre. « On n’attend plus que la formation du nouveau gouvernement malgache pour relancer le programme d’aide publique au développement pour Madagascar » a notamment déclaré l’ambassadeur du Japon à Madagascar SEM Ryuhei Hosoya lors d’une réunion préparatoire qui s’est tenue la semaine dernière au ministère des Affaires étrangères. Par ailleurs, une délégation de la coopération technique japonaise a effectuée des séances de travail au port de Toamasina la semaine dernière. Une simple reprise des contacts, qui constitue en tout cas le démarrage du processus du grand projet d’extension du port, suspendu en 2009 à cause de l’accession au pouvoir d’un régime issu d’un coup d’Etat.
Bonnes perspectives. Selon Christian Avellin Eddy, le Directeur Général de la Société du Port à gestion Autonome de Toamasina (SPAT), un certain nombre de conditions doit tout d’abord être rempli avant l’effectivité de cette reprise. Ce qui n’empêche pour autant pas aux autorités portuaires de poursuivre les efforts déjà entrepris l’année dernière dans une logique de continuité. « Le port de Toamasina est en chantier et plusieurs travaux ont déjà été entrepris en 2013 dans le cadre du projet de développement et d’extension du port » selon toujours le DG de la SPAT qui envisage l’avenir sous de bonnes perspectives en poursuivant que « nous sommes obligés d’avancer car la compétition accrue entre les ports de la région encourage les armateurs et les chargeurs à choisir certains ports comme plate-forme d’éclatement et de convergence des marchandises » Une place que le port de Toamasina a des chances de remporter avec les grands chantiers en cours et à venir et qui sont prévus dans le plan urgent du schéma directeur de développement du port de Toamasina.
Fonds propres. A commencer par l’extension des aires de stockage des conteneurs et des véhicules. En effet, un nouvel emplacement de 8 hectares est prévu pour permettre une meilleure fluidité des mouvements des conteneurs à l’intérieur du domaine portuaire. Il s’agit de travaux financés sur fonds propres permettant de régler les problèmes liés au manque d’espaces. Cela handicape le bon fonctionnement du port de Toamasina qui assiste actuellement à un accroissement du transport conteneurisé enregistrant ces dernières années une augmentation annuelle de 10%. Toujours dans le cadre de l’amélioration de capacité d’accueil au port, un nouveau site de stockage pour les véhicules vient également d’être aménagé. Et ce pour faire face à la croissance constante de l’importation de véhicules qui a augmenté de près de 40% entre 2009 et 2012. Selon la Société de Manutention des Marchandises Conventionnelles (SMMC) 10 759 véhicules ont été débarqués au port de Toamasina en 2012. On compte également parmi les grands chantiers déjà réalisés ou en cours, l’aménagement d’un site de stockage de chromite. Dans tous les cas, les grands projets miniers dont Ambatovy sont les plus grands utilisateurs des infrastructures portuaires.
Apogée. Des infrastructures qui connaîtront leur apogée en 2018 avec entre autres grands travaux : la construction d’un quai à conteneurs « Quai C4 » de 320 m de longueur et de 14 m de profondeur dans le prolongement du quai C3 ; le prolongement du brise-lames sur une longueur de 345 m pour sécuriser la navigation à l’intérieur de la base, l’approfondissement jusqu’à 14 m des quais existants au Mole C1 ; C2 et C3, faisant un total linéaire de 526 m ; le remblaiement de 10 ha du récif Hastie qui sera utilisé comme terre-plein à conteneurs ou encore la construction d’un passage supérieur à l’entrée du port pour éviter le conflit entre le rail et la route. D’ici-là Toamasina aura la chance de devenir le grand port de l’Océan Indien.
R.Edmond
Ny sabotsy 15 febroary vao maraina tamin’ ny iray ora no tratran’ ny vaomieran’ ny fandriam-pahalemana sy ny polisim-pirenena teny Anosibe ny tovolahy iray fantatra fa tena kinga tokoa amin’ny halatra, endaka sy vaky trano. Tratra teny aminy ny fitaovana fitondrany rehefa manao ny asa ratsiny izy, toy ny “barre à pince”, antsy, ary basy kilalao. Ny loharanom-baovao no nahafantarana fa maro ny olona efa nitondra faisana tamin’ny endaka nataony. Marihina fa vao feno 18 taona ity jiolahy ity amin’izoa fotoana izao. Efa elaela ihany anefa no nanaovany ny halatra. Tamin’ny fanadihadiana natao azy dia nilaza ny anao lahy fa ireo zavatra tratra teny aminy dia nolazainy fa vola sy entana nomen’ny namany azy. Rehefa nohamarinina anefa izany dia hita fa tsy mitombina. Ireo farany ireo moa dia karohan’ny mpitandro filaminana fatratra amin’izoa fotoana izao. Eny amin’iny faritr’Anosibe iny sy ny eny amin’ny lalamby eny La Réunion kely no tena fanendahany, hoy hatrany ny vaovao. Rehefa alina, eny amin’iny toerana fanendahany iny ihany, izy no voalaza fa matory. Omaly ity jiolahy ity no natolotra ny fitsarana.
ALEM
Tâtant un peu de la politique ces derniers temps, Tsialiva Rajaobelina, président de la fédération malgache de tennis n’a pas oublié sa fédération. D’ailleurs sur le plan tennistique, 2014 sera l’année de tous les défis pour lui.
Le tennis-études sera lancé avec le ministère des Sports à partir du mois de mars. Cela s’étalera sur plusieurs catégories d’âge. Déjà les moins de 8 ans, de 10 ans et de 12 ans suivront des formations régulières à raison de deux fois par semaine sous la houlette de la fédération et avec le support logistique de la fédération.
Les plus âgés, de moins de 14 ans seront appelés aux rythmes de tennis-études. « Deux garçons et deux filles soit les 4 meilleurs du moment seront pris en main pendant 2 ans et ils auront les meilleurs coaches malgaches ainsi qu’un suivi permanent. Les études aussi seront prises en charge selon ce qui arrange les deux parties prenantes parents et fédération» nous a –t-il expliqué.
Le Directeur technique national Dina Razafimahatratra, ancien joueur de l’équipe nationale se reconvertit complètement en formateur et en coach et vient de suivre une formation d’entraîneur des juniors à l’étranger. Il mettra en place ainsi des formations pour les juniors. Quant au grand public, l’objectif 1 000 jeunes sera en action ce 8 mars. Il s’agit de la journée mondiale de tennis ainsi que celle de la femme.
2014 verra aussi d’autres activités de relance. Les tournois FED SAT se tiendront toujours et concerneront les juniors ainsi que les seniors de 2 et de 1re série. En parlant de séries, les vétérans ne se classeront plus par âge à partir de 35 ans mais par série « cela mettra les mêmes niveaux sur les mêmes courts »explique-t-il. Et nos vétérans auront leurs « classis tours ».
Pour ce mois-ci, les masters de moins de 14 ans et de moins de 16 ans auront lieu à partir de ce dimanche. Les huit meilleurs garçons et filles de ces catégories s’affronteront. Ils auront des matches dans les jambes pour être au top en vue des compétitions internationales. Déjà, les championnats d’Afrique seront pour ce mois de mars.
Anny Andrianaivonirina
Monique Noyon chez les dames et Brian De Wolfe chez les hommes ont remporté le 3e tour du Ringer Score BNI, dimanche sur les parcours du green de l’International Golf du Rova à Andakana.
Toutes les conditions ont permis aux inconditionnels d’Andakana de disputer le 3e Tour du Ringer Score 2014.
Confirmation. A la sortie du deuxième tour, Monique Noyon mène au classement féminin, une place qu’elle a gardée, à l’issue du tournoi de dimanche. Elle s’est distinguée et a pris le large en se positionnant en tête avec un total de 69 avec 7 coups d’avance. Christiane Ravon arrive à la deuxième place ayant réalisé 78 et Ony Marchand, la tenante du titre connaît un démarrage difficile cette année en cumulant 78 points et se maintient à la troisième place.
Remonté. Chez les hommes, un revirement de situation, Brian De Wolfe a réalisé une remontée spectaculaire de la 4e place à la première place avec 5 birdies réalisés et deux bogeys et un total cumulé de 69 points. Ce Canadien marque ici sa confirmation de grande régularité qu’il exerce sur ce parcours d’Andakana, qui risque bien de donner du fil à retordre aux ténors habituels jusqu’au dernier tour du mois de novembre 2014. Trois joueurs ont pris ensemble la seconde place en tête à savoir François Douessy, Binou Rajaonarivony et Théodore Raveloarison avec un score de 70 points respectivement. Chez les Juniors, Mihary Rabenja reste en tête avec un total de 73 coups et Tahiana Rabenja, son frère, le suit de très près avec 74 coups et Mattéo Douessy complète le podium en totalisant 84 points.
Rien n’est encore gagné à mi-parcours de l’édition 2014 du Ringer Score entre les 35 dames et 29 hommes en lice pour remporter le titre. Il reste encore 7 tours à disputer et le rendez-vous pour le 4e tour sera le 23 mars.
T.H
