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mardi, août 5, 2025
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PUPIRV : Signature de convention entre la CPGU, le FID, l’ARM et le PNBVPI

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Les 4 agences d’exécution concernées dans le projet PUPIRV ont signé une convention de partenariat sur le projet de renforcement de capacités en réduction des risques des catastrophes. Un projet financé par la Banque Mondiale.

La signature de convention entre les agences d’exécution du projet PUPIRV ( Projets d’Urgence pour la Préservation des Infrastructures et la Réduction de Vulnérabilité, dont la CPGU (Cellule de Prévention et de Gestion des Risques), le FID (Fonds d’Intervention pour le Développement), l’ARM (Autorité Routière de Madagascar) et le PNBVPI (Programme National Bassins Versants Périmètres Irrigués), s’est tenue hier au DLC Anosy.

Il s’agit d’une convention de partenariat inclus dans le cadre de la mise en œuvre des activités du PUPIRV et de l’application des normes de construction para-cycloniques sur les infrastructures critiques à Madagascar, suivant le guide pour la protection routière l’inondation à Madagascar et des normes sur les infrastructures hydro-agricoles contre les crues et inondations. Le projet PUPIRV, d’un montant de 102 000 000$ USD, est financé par la Banque Mondiale et rattaché auprès du ministère des Finances et du Budget. Il vise à préserver les infrastructures critiques et réduire la vulnérabilité des ménages dans les zones ciblées. Ainsi, il permettra de rétablir des infrastructures routières sur quelques axes dont certaines sections sur la RN7, RN4, RN6, RN12 et RN25, mais aussi de réhabiliter des constructions de base telles que les écoles ou encore les centres de santé de base afin que celles-ci soient aux normes et résistantes aux diverses catastrophes naturelles. Le projet contient ainsi 3 grandes composantes : réhabilitation des infrastructures critiques et réduction des risques, réduction de la vulnérabilité des ménages et gestion et coordination du projet. Il prévoit également une section sur la préservation de la capacité agricole par la réhabilitation des systèmes de micro-irrigation.

Ces constructions aux normes permettront de réhabiliter des routes praticables résistantes à toutes les conditions climatiques, prévues durer pour un demi-siècle.

Anjara Rasoanaivo

Mgr Benjamin Marc Ramaroson : « Je vis par la grâce de Dieu »

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Benjamin1« Je vous remercie de venir m’interviewer car cela me permettra déjà de témoigner ma foi ». C’est par ces mots que Monseigneur Benjamin Marc Ramaroson, le nouvel Archevêque du Diocèse d’Antsiranana a commencé lors de l’interview que nous avons eue avec lui. Une manière pour ce serviteur de Dieu de rendre gloire au Seigneur par qui, il doit tout. Il affirme d’ailleurs qu’il vit par la grâce de Dieu en faisant sa devise cette phrase prononcée par Saint Paul dans 1 Corinthiens 15 : 10c : « Non pas moi, toutefois mais la grâce de Dieu qui est avec moi ».

Vocation. Mgr Benjamin est en tout cas très heureux de sa vie chrétienne. « Je rends grâce à Dieu de m’a voir donné une famille chrétienne surtout  ma mère très engagée au sein de mouvement ZMM (Zanak’i Masina Maria). « Comme je suis le dernier des dix enfants. J’étais toujours avec elle jusqu’au bac. Je suis pleinement convaincu que la famille est la première cellule de la société donc de l’Eglise. Si elle est malade c’est tout le corps entier qui est malade. Malheureusement elle l’est actuellement car elle ne s’enracine plus sur ce que Dieu l’a créée dès l’origine ». Et c’est cet amour de Dieu qui est à l’origine de la vocation de Mgr Benjamin. Dans sa jeunesse il faisait partie de la Jeunesse Etudiante Chrétienne (JEC)  et c’est au sein de ce mouvement que la vocation a pris naissance. « Ayant eu le bac j’ai demandé à l’Evêque de Farafangana de l’époque Mgr Victor Razafimahatratra de pouvoir commencer le grand séminaire dans l’intention de devenir prêtre pour répondre à l’appel de Dieu. Mais Mgr Victor me trouvant encore jeune m’encourage d’aller d’abord étudier à l’université. J’ai commencé alors les études de Mathématiques. Je ne regrette pas car cela m’a permis d’approfondir une matière que j’aime beaucoup et qui m’a forgé à avoir un esprit scientifique très logique nécessaire pour la philosophie et pour la théologie. Mon séjour à l’université m’a aidé surtout à connaître la vie des étudiants ».

La bonne nouvelle aux pauvres. Et la vie estudiantine a encore une fois conforté son souhait de devenir prêtre. « Comme c’était à l’époque de la révolution socialiste, le transport urbain n’était pas organisé surtout le bus vers Ankatso. C’était l’époque du « fameux lasô » (assaut pour pourvoir prendre le bus). J’ai observé les étudiants et j’ai médité : « Tous ces jeunes vont devenir médecins, ingénieurs, professeurs… qui va annoncer la Bonne nouvelle aux pauvres gens de brousse ? ». Je ne cache pas que plus les années passent plus l’appel de Dieu a grandi en moi et j’ai toujours entretenu de bonnes relations avec les Pères de notre diocèse notamment les Pères Joseph Menu, Jean Marie Estrade, Aimé Goliet etc. J’ai déposé alors ma demande au Père Visiteur (Provincial) de l’époque au Père Gonzague Danjou. Il m’a cherché pendant une semaine dans les dédales des 67ha. Il commençait à se décourager quand en se promenant j’ai vu un prêtre cherchant justement quelque chose. Je me suis approché et je lui ai proposé de l’aider. Justement il me dit qu’il cherche un certain Benjamin depuis une semaine. Pour moi, ce n’était pas un hasard mais plutôt la providence car c’était de cette façon que Dieu m’a appelé.  C’était la première étape de mon « chemin de Damas ». Après cette rencontre, la Congrégation de la Mission (Lazaristes) m’a envoyé au Grand Séminaire. Voilà le début de ma vocation qui m’a amené jusqu’au sacerdoce. La grâce m’a accompagné et j’ai accepté qu’elle travaille en moi pour que je sois au service du Seigneur cela par la prière, par le service auprès des pauvres, par la vie fraternelle au sein de la communauté »

Communion avec Dieu.  Mais Mgr Benjamin est surtout content de sa communion avec le Seigneur. « Lorsqu’on sent effectivement être appelé par le Seigneur, on a des rencontres personnelles avec le Christ à travers les prières, le service auprès des pauvres, l’apostolat, la vie communautaire, les études… Ces rencontres engendrent une communion avec Celui qui vous appelle. C’est cela la réponse qui fait que vous épousez la vie du Seigneur. Sa vie est très simple à dire mais tout un programme de vie ou plus exactement un état de vie : « service » surtout les plus pauvres. Comme dit l’actuel Pape «  le serviteur doit toujours aller vers celui qu’il servit » à l’image de la Sainte Vierge qui est allée servir sa cousine Ste Elisabeth. C’est  la vie du consacré, il imite celle du Christ. Cela n’est pas facile. La grâce du Seigneur l’accompagne dans ce qu’il entreprend ». selon toujours Mgr Benjamin qui ajoute : « Vous comprenez pourquoi j’ai choisi alors la devise à la suite de St Paul : « ce n’est pas moi mais la grâce de Dieu avec moi », à la suite de St Vincent, notre Saint Fondateur : « Faites les œuvres de Dieu, Lui fera les vôtres ». Et j’ajoute en toute simplicité mais avec conviction « il fera mieux que nous car Il est tout puissant ». Ma mission c’est la mission du Christ qui est venu pour servir et non pour être servi. Comme c’est sa mission, le missionnaire vit ce que vit le Christ. Cela n’est pas facile encore une fois mais avec la grâce de Dieu tout est possible. Comme c’est une vie de service ce n’est pas l’agir qui est premier mais votre être. Le Pape Paul VI le résume ainsi : « Le monde actuel a plus de témoins que de prédicateurs s’il écoute le prédicateur c’est parce qu’il est témoin ».

Propos recueillis par R.Edmond

Afrobasket – Men U18 : Des joueurs talentueux présélectionnés !

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Le trio Dolys, Bema et Tiana sera de la partie à Mahamasina. (Photo d’Archives)

La fédération place la barre très haut et vise très loin pour l’Afrobasket Men U18 à domicile au mois d’août au Palais des Sports de Mahamasina. Du spectacle et du basket-ball de haut niveau attendent les férus du ballon orange malgache.

« La crue de 2014 est meilleure que celle des U16 de 2013, il y a du potentiel physique » selon les dires du co-directeur technique national de la fédération malgache de basket-ball, Tojo Hery Rasamoelina.

A 7 mois de l’événement phare de l’année, l’Afrobasket Men U18 prévu au mois d’août, les joueurs présélectionnés pour cette joute continentale sont en regroupement depuis quelques mois. «  Il faut prendre de l’avance du côté de la préparation de l’équipe nationale pour espérer avoir un bon résultat, car le niveau de la compétition sera très relevé. L’Afrobasket Men U18 est un tremplin pour les joueurs africains car des recruteurs américains et européens seront présents à cette occasion pour dénicher les meilleurs talents  » a poursuivi le co-directeur technique national Tojo Hery Rasamoelina.

Du lourd. Ils sont une quarantaine de joueurs à suivre actuellement le regroupement dans plusieurs sites à Mahajanga, Antananarivo, Toliara, Antsirabe. Le meilleur tri-pointeur Elly Randriamampionona d’Ambilobe, le talentueux Bila de Mahajanga et Did’s d’Antsirabe sans oublier les pivots Kiady de Fianarantsoa, capitaine d’équipe et Tojo d’Antananarivo sont encore retenus pour les U18. Kevin de Toliara du haut de ses 2,5m déjà membre de la sélection nationale des Jeux de la CJSOI aux Comores, fera aussi son come-back, mais un nouveau venu Hasina d’Antsirabe figurera aussi dans la liste des présélectionnés. Les deux expatriés  Antsa Ravelojaona du SMUC de Marseille et Yann Rakotomalala JSA Bordeaux étofferont également la sélection nationale. Selon le calendrier de la fédération, un stage et une préparation en France seront prévus pendant les vacances de Pâques.

Confirmation. En ce qui concerne la compétition, seuls les joueurs âgés de 17 et 18 ans seulement peuvent y participer et la vérification des âges sera très sévère et stricte comme en 2013. La lettre finale attestant l’attribution de ce championnat d’Afrique à la Grande Ile est attendue au début du mois de février à l’occasion de la réunion du bureau central de FIBA Afrique dont Madagascar est membre par le biais du président de la FMBB, Jean Michel Ramaroson.

T.H

Palais d’Iavoloha : Des containers de bois de rose et des tracteurs sans moteurs découverts

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Ces biens, déposés pendant plus de 5 ans à Iavoloha, ont subi d’importantes pertes de valeur.
Ces biens, déposés pendant plus de 5 ans à Iavoloha, ont subi d’importantes pertes de valeur.
Ces biens, déposés pendant plus de 5 ans à Iavoloha, ont subi d’importantes pertes de valeur.

Une équipe de la Présidence a procédé hier à l’état des lieux du Palais d’Iavoloha. Bois précieux en décomposition, tracteurs neufs avec des pièces manquantes, etc. ont été constatés sur les lieux.

Pur gaspillage ! Quelques dizaines de tonnes de bois précieux saisis et environ 75 tracteurs acquis avant la crise de 2009 ont été « oubliés » au Palais d’Iavoloha. Sous l’initiative de la Présidence, une équipe conduite par Jaobarison Randrianarivony, assistée par la presse, y a effectué une visite hier, pour un constat de visu. D’après les responsables, la réalisation de l’inventaire de ces biens nécessitera quelques jours de travail. « Ces bois précieux ont été saisis entre 2005 et 2008. Au moment du dernier inventaire en fin 2008, on a compté 1949 rondins de bois d’ébène, 875 rondins et 5 containers de bois de rose, et enfin 300 planches, 103 rondins et 9705 traverses de palissandre », ont informé les représentants de la Direction générale des Forêts, présents sur les lieux.

Dégradations. L’équipe de la Présidence a décidé de faire appel à un huissier et à des juristes, pour effectuer l’inventaire physique de ces biens. En effet, les bois précieux déposés en plein air ont déjà subi d’énormes pertes de valeur. Par ailleurs, la plupart des tracteurs censés être opérationnels sont sur cale, avec des pièces manquantes. Certains d’entre eux n’ont même plus de moteur. Il faut croire que les pertes provoquées sur ces biens oubliés sont énormes. « Mercredi dernier, nous avons procédé à l’état des lieux au Palais d’Ambohitsirohitra et ce jour à Iavoloha. Nous avons constaté que les réhabilitations sont nécessaires. L’inventaire sera achevé dans deux ou trois jours, et un rapport sera présenté à la presse », a déclaré Jaobarison Randrianarivony, après la visite.

Antsa R.

Grenady tetsy Anosikely : Miantso ny fanjakana ny rain’i Kevin sy Andry

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Vontom-pahoriana tokoa ny rain’izy roa lahy niresaka tamin’ny mpanao gazety.

Araka ny efa nitaterana azy tamin’ny gazety dia namoy ny ainy ihany koa ny zokin’i Kevin antsoina hoe Andry. Samy nipoahan’ny grenady teny Anosikely izy roalahy ireo sy ny anabaviny iray tamin’ny sabotsy. Ilay zandriny moa maty teo no ho eo ary efa vita ny fandevenana azy. Naratra mafy kosa ilay zokiny. Notsaboina andro vitsy teny amin’ny HJRA izy. Ny vaovao no nahalalana fa tany amin’ny tratrany no voadona mafy ary na dia nanao izay ho afany aza  ny mpitsabo dia tsy tana ihany ny ainy.

Araka ny resaka nifanaovana tamin’ny rainy dia nilaza mazava izy fa fanampiana avy amin’ny fanjakana sy ireo izay malala-tanana no heveriny fa hanarina azy ireo amin’ny fiainana. Mandefa “SOS mihitsy izy ary niteny fa “ankininay amin’ny fanjakana sisa ny ho avinay”. Mavesatra loatra ny alahelo mitambesatra amin’izy ireo. Mpivarotra lasopy amoron-dalana no antom-pivelomany. Amin’ny sabotsy izao no hotanterahina any Alasora ny fandevenana an’i Andry Rasolofoson, 7 taona.

ALEM

Afrobaromètre et corruption : La police en tête, suivie par la justice et les impôts

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Les résultats de l’enquête Afrobaromètre 2013 font apparaître que la corruption affecte tous les rouages de l’administration et la sphère politique. Aucune des Institutions identifiées dans l’enquête n’y échappe. Ainsi, 2 individus sur 3 (66 %) sont persuadés que la police est corrompue. Viennent ensuite les juges et magistrats 57 % des enquêtés. Et en troisième position, certains des agents de l’impôt et des douanes, soit 48 % des enquêtés. En ce qui concerne les Institutions politiques, on constate respectivement que 37 % et 36 %  des membres du Congrès de la Transition et du Conseil Supérieur de la Transition sont touchés par ce phénomène. Par ailleurs, seule une faible proportion des enquêtés, respectivement 16 % et 8 %, estiment que l’entourage du président et les membres du gouvernement sont tous intègres. Bref, l’appréciation de la population n’autorise aucun doute sur l’étendue de la corruption et la nécessité d’inscrire la lutte contre ce fléau parmi les priorités.

Recueillis par Dominique R.

Rétablir la confiance

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Les décisions prises par le premier conseil des ministres du président de la République Hery Rajaonarimampianina alimentent les conversations du public. La suppression des FIS et de la DST ainsi que l’abrogation des nominations du SGP et du DIRCAB  de la présidence sont perçues comme une volonté de gérer autrement la présidence.  Aucune nomination aux hauts emplois de l’Etat n’a encore eu lieu. Sans doute, en fera-t-il au prochain conseil des ministres, au retour d’Addis-Abeba.  Il n’empêche qu’en attendant, les spéculations vont bon train dans l’opinion pour essayer de deviner les futurs remplaçants de ces hauts responsables de la présidence pendant la Transition.

Rétablir la confiance

                   Les premières mesures décidées en conseil des ministres ont donné le ton du changement que souhaite apporter le président de la République. Elles font prendre conscience  que la période de Transition est terminée. Nous sommes en République. La démarche du président de la République, bien qu’elle ait pu surprendre certains, est logique. Elle est dans la ligne de son discours programme lors de l’investiture.  « Nous ferons table rase des pratiques du passé et viserons l’efficacité» a-t-il déclaré.    Dans son optique de construction du renouveau, le président de la République veut rétablir la confiance dans l’Etat sur la base de trois piliers de son programme, la sécurité, la Justice et la lutte contre la corruption.  Bien sûr, dans le camp politique d’Andry Rajoelina, on  ne voit pas tellement ces premières décisions du conseil des ministres du bon œil car elles vont à l’encontre des FIS et du DST que le président de la Transition a créé pour sa sécurité et des plus hauts responsables de la présidence qui lui étaient fidèles. On est bien loin de comprendre que les hommes passent et les institutions restent. Mais quoi qu’il en soit, le président de la République envisage « une nouvelle ère de responsabilité, de renaissance ».  Il sait que la population attend de lui le respect de ses engagements.  Il sait qu’il ne pourra y arriver  qu’en évitant tout esprit partisan afin d’incarner l’intérêt général. Il  ne puisera pas ses collaborateurs que dans le HVM ou le Mapar, mais il compte  s’entourer des compétences de tous bords pour renforcer l’unité nationale.  Au retour d’Addis- Abeba, où la réintégration de Madagascar au sein de l’Union africaine a été accueillie dans la joie au 22e sommet  des chefs d’Etat et de gouvernement,  il faut s’attendre à des décisions encore plus surprenantes et courageuses de la part du président de la République car on n’est plus en Transition mais en République.

Zo Rakotoseheno

Pétanque : Tous les grands noms aux qualifications pour les Masters !

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Le trio Dolys, Bema et Tiana sera de la partie à Mahamasina. (Photo d’Archives)
Le trio Dolys, Bema et Tiana sera de la partie à Mahamasina. (Photo d’Archives)
Le trio Dolys, Bema et Tiana sera de la partie à Mahamasina. (Photo d’Archives)

Les qualifications pour les 4es Masters de Thaïlande de ce week-end au CBT, s’annoncent prometteuses. Aux dernières nouvelles en effet, des têtes couronnées vont honorer l’invitation de Tiana Andriambelosoa et Trema.

On notera en premier la triplette vice-championne du monde 2010 en Turquie et championne d’Afrique de la même année avec Dolys, Bema et Tiana. Une équipe qui fait figure de grandissime favori pour ce tournoi donnant droit à des billets Tana-Bangkok- Tana ainsi que l’hébergement à Pattaya du 7,8 et 9  mars 2014.

Il y aura également une autre équipe vice-championne du monde 2007 à Pattaya conduite par Jacky Be sans oublier la formation de Naina Ragasy qui a aussi un titre à faire valoir, puisqu’il a été vice-champion des 2es Masters de Thaïlande.

On notera aussi la participation du nouveau député élu, Rastany, qui va s’associer avec Jim et Nary Kely.

C’est également certain que Gérard Naturel, l’ancien président de la Fédération malgache de pétanque, va venir avec deux grands joueurs tout comme l’actuel président du CBT, le Colonel Dieudonné.

Si l’on y ajoute des joueurs d’Antsirabe, de Moramanga, de Tsiroanomandidy avec le grand Samy Razafindrakoto et de Fianarantsoa, on s’attend à voir de rudes batailles. Vivement samedi.

Clément RABARY

Rajerison Nicole : Candidate à la mairie de Tanà

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Rajerison Nicole présidente d’une nouvelle plate-forme l’UNRM. (photo Kelly)
Rajerison Nicole présidente d’une nouvelle plate-forme l’UNRM. (photo Kelly)
Rajerison Nicole présidente d’une nouvelle plate-forme l’UNRM. (photo Kelly)

Une autre plate-forme vient de voir le jour, elle vient de s’ajouter aux autres déjà existantes. Il s’agit de l’Union Nationale pour la Refondation et la Reconstruction de Madagascar (UNRM). Avec comme présidente Rajerison Nicole Véronique. Cette dernière a d’ailleurs déclaré lors de la conférence de presse qu’elle a tenue à l’hôtel Colbert, qu’elle va se porter candidate à la mairie de Tanà. Selon sa présidente, cette plate-forme a pour but de participer à la vie politique, économique et sociale de Madagascar par des moyens démocratiques et pacifiques et de montrer qu’un autre Madagascar est possible.

Reconstruction de Madagascar. Toujours d’après Rajerison Nicole, « l’UNRM présente un programme et un projet offrant des propositions concrètes et faisables. Elles s’inspirent des valeurs communes telles que le Fihavanana, l’unité nationale, « Fanahy  maha olona » et le Fokonolona qui lient le peuple malgache. L’UNRM est le fruit de la fusion de toutes les forces vives de la Nation engagées dans la refondation et la reconstruction de Madagascar ».  Cette plate-forme propose également que l’on procède à des amendements de la Constitution avec la mise en place notamment d’un « conseil national du Fihavanana, de l’unité nationale, de la justice, de la démocratie, de l’Etat de droit, de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption » et d’un « conseil national de la refondation et de la reconstruction de Madagascar ».

Dominique R.