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mardi, juillet 29, 2025
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COI : La connectivité aérienne sera débattue au Sommet

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Jean Claude de l’Estrac, le secrétaire général de la COI a déclaré que 2014 sera une année de toutes les ambitions.
Jean Claude de l’Estrac, le secrétaire général de la COI a déclaré que 2014 sera une année de toutes les ambitions.
Jean Claude de l’Estrac, le secrétaire général de la COI a déclaré que 2014 sera une année de toutes les ambitions.

La compétitivité de la région dépend de l’amélioration de la connectivité aérienne car les liaisons inter-îles sont entre autres 185 % plus chers que les vols intra-Caraïbes sur des distances de trajet équivalentes.

Après Madagascar, c’est au tour des Comores d’accueillir le prochain Sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement membres de la Commission de l’Océan Indien (COI). « Ce 4e Sommet qui est toujours précédé d’une réunion du Conseil des ministres, se tiendra en juillet 2014 », a annoncé le secrétaire général de la COI, Jean Claude de l‘Estrac. Cette décision a été prise lors d’une réunion des ministres des Affaires Etrangères des Etats membres de la COI aux Seychelles à l’occasion de la célébration du 30e anniversaire de l’Accord de Victoria. « L’agenda de la conférence n’a pas encore été validé par le Conseil des ministres, mais la connectivité aérienne, maritime, numérique et audiovisuelle constituera certainement un des thèmes prioritaires qui sera débattue dans le cadre de ce Sommet », a-t-il évoqué.

Compétitivité de la région. En effet, « c’est une préoccupation majeure de nos Et

Casino du Carlton : Un tournoi international de Poker en gestation

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La Nouvelle Société du Grand Cercle de Tananarive (NSGCT), aussi appelé le Casino  du Carlton, non moins le seul grand salon de Casino implanté en plein centre de Tana, par le biais de Carlton Madagascar (qui n’est autre que l’un de ses grands partenaires), vise loin. En effet, cette entreprise familiale projette d’organiser un Tournoi International de Texas Poker Holdem, auquel des joueurs mondialement classés vont participer. Ce qui donnera sûrement une grande opportunité à tous les amateurs et passionnés de ce jeu de mettre à l’épreuve toutes leurs connaissances pour défier les pros venus spécialement du monde entier. Il est donc inutile de préciser que la cagnotte sera d’une valeur immense.

Voitures haut de gamme. En fait, depuis sa création en 1969, ce lieu de divertissement unique en son genre dans la capitale n’a cessé de mettre en place des innovations, rien que pour satisfaire ses clients. Ce, sous les animations musicales assurées par les grosses pointures presque tous les jours. C’est d’ailleurs comme ce qu’a évoqué Antoine Guerini, Président Fondateur de NSGCT, dans son discours lors du tirage de la Tombola de la « Santa Fe » du 11 janvier dernier: « l’année 2014 se déroulera comme elle a commencé : sous le signe de l’innovation ». A titre de rappel, la gagnante, après avoir participé à l’un des divers jeux proposés par le Casino du Carlton (machines à sous, pokers, jeux traditionnels, paris sportifs,… ) a eu droit à une belle voiture de marque Hyundai Santa Fe de la part du Groupe SICAM, également l’un de ses grands partenaires. Dans ce sens, outre le tournoi international de poker en gestation, d’autres voitures haut de gamme sont aussi mis en jeux, rien que pour cette même année. A noter également qu’une autre société d’envergure vient de s’affilier avec la NSGCT, le Groupe COMADIS.

Arnaud R.

Mahajanga : Les bas quartiers sous l’eau

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On se déplace en canot à moteur dans les ruelles des bas quartiers.
On se déplace en canot à moteur dans les ruelles des bas quartiers.
On se déplace en canot à moteur dans les ruelles des bas quartiers.

Les fortes précipitations de ces derniers jours dans la Cité des Fleurs ont engendré de nombreux dégâts. On compte actuellement quelque 800 sinistrés. Dans les bas quartiers, on se déplace en vedette à moteur dans les ruelles impraticables de Tsararano Ambany, Ambalavola et dans le Vallon de Mitzinger qui essaie de lutter contre une houle, menace permanente en pareille saison. Depuis le 15 janvier, les établissements scolaires de la ville ont été fermés. Les sans-abri sont logés à l’EPP Tsararano Ambony, EPP Fiofio et dans  la Maison du Quartier Ambalavola. Mais des gens n’ont pas accepté de quitter leurs maisons inondées. Ils craignent des cambriolages. Une éventualité qui n’est pas à écarter. Pour leur part, ils ont bénéficié d’une assistance alimentaire offerte par des associations et des personnes de bonne volonté.

Toujours dans la Région Boeny, le district de Soalala n’est épargné par le mauvais temps. On dénombre actuellement 300 sans-abri. Les pertes sont considérables, selon les informations reçues de cette localité lointaine. Les réserves de paddy de plusieurs tonnes et des semences pour la prochaine culture se trouvaient sous l’eau. Une perte considérable, selon nos sources. Les rizières sont ensablées, une école et deux maisons d’habitation ont été détruites. Trois fokontany : Vilanandro, Antanambao et Belafika sont les plus touchés.

recueillis par r.s.

Manambaro : Vola 20 tapitrisa Ar nanjavona, mandeha ny famotorana

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Tranga mateti-piseho eo anivon’ny Paositra Malagasy amin’iny faritra Anôsy iny ny fanjavonan’ny vola ao amin’ny toeram-piasana. Tamin’ny faran’ny herinandro teo iny, heno araka ny loharanom-baovao azo tany an-toerana,  fa vola mitentina hatrany  amin’ny 20 tapitrisaAr no nanjavona tao amin’ny masoivohon’ny Paositra Malagasy ao amin’ny kaominina ambanivolon’i Manambaro, any amin’iny distrikan’i Faradofay iny. Efa  nesorina tamin’ny toerany ary nosoloina vonjimaika ny resevera  teo aloha, tombanana, fa tomponan’antoka tamin’ny fahaverezan’ny vola.  Ny fanahadihadiana  ataon’ny tomponandraikitra sy ny mpitandro ny filaminana no hahafantarana ny marina.  Manoloana izany, mampanahy ny hoavin’ny paositra malagasy satria vao tsy ela akory izay no nisy nanodina ny vola amina miliara Ariary maromaro tao an-drenivohitr’i Faradofay, ary mbola nanefa ny saziny tao Ambalatavoahangy ilay tompon’antoka tamin’izany. Ny fitantanana heverina fa gaboraraka toy izao no mampisy fanodinkodinam-bola ataon’ireo olona milaza azy ho tsy maty manota. Mahakasika ny fitantanana ny volam-bahoaka dia ilana ny fanaraha-maso akaiky  ireo nomena andraikitra mba tsy hamono antoka ny fanjakana.

Rom Farady

CFA d’Ambatovy : 2 300 paysans formés à Brickaville

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Depuis la mise en place du Centre de Formation Agricole à Brickaville par le projet Ambatovy en novembre 2012, près de 2 300 paysans ont été formés. Ils sont notamment issus de ce district et des anciens employés du projet dans la phase de construction. Leurs formations portent sur l’amélioration de leurs techniques de production dans la riziculture irriguée ou pluviale, la plantation de canne à sucre et d’arbres fruitiers, dans la culture de plantes à huiles essentielles ainsi que dans l’élevage d’oie, de dinde, de poulet gasy, de poulet de chair et de poule pondeuse. Le module sur la transformation de fruits est également disponible au Centre de Formation Agricole de Brickaville.

Engagement social. Ensuite, les paysans formés ont bénéficié d’un appui technique sur l’amélioration de leur production jusqu’à la facilitation de la commercialisation de leurs produits, surtout en matière de respect des normes et de qualité.  Ces anciens apprenants sont actuellement devenus des fournisseurs auprès des services traiteurs d’Ambatovy, par l’intermédiaire des Centrales d’Achat ou CAM, FRUID’Îles et MAEVA. Ils sont également devenus les fournisseurs d’un point de vente de viande de canard et de poulet, mis en place depuis la fin de l’année 2013 au Bazary Kely. Ce point de vente écoule essentiellement des produits fournis par des anciens apprenants de CFA de Moramanga. L’implantation des trois centres de formation agricole, notamment dans les localités de Moramanga, Toamasina et Brickaville entre dans le cadre de l’engagement social d’Ambatovy et vise à améliorer le niveau de vie des populations environnantes des sites de la Compagnie.

Recueillis par Navalona R.

Affaire Mahajanga : Risque d’affrontement entre Sakalava et Tsimihety

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Les « Zanaka Sakalava » se disent prêts à verser leur sang pour réclamer justice.

L’affrontement meurtrier entre les Forces de l’ordre et les étudiants de l’Université de Mahajanga risque de tourner en une guerre tribale entre Sakalava et Tsimihety. En effet, si l’on se réfère à la déclaration des Raiamandreny issus de la Province de Mahajanga, rien ne va plus entre ces deux tribus. Au cours d’une conférence de presse organisée hier à Anosy, Ibrahim, Vice-président de l’Association « Filongoan’ny Sakalava Mahajanga », Alain Nestor, Représentant des jeunes issus de la Région Boeny, Amisy Tibotibo Représentant des parents d’élèves à l’Université d’Ambondrona et le Prince Abdul Karim ont fait savoir que les conflits entre ces deux tribus ne datent pas d’hier. Pour eux, les natifs de la Région Sofia ont provoqué cet affrontement pour souiller l’image des Sakalava. Cette affaire a donc un dessous politique qui a pour objectif de réclamer le départ du président de l’Université et du Chef de Région. « Ce n’est pas normal que les cadres issus de la Région Sofia ont déjà envisagé la mise en place d’un Comité ad hoc au cours de leur réunion qui s’est tenue le dimanche 12 janvier après-midi alors que la mesure de suspension du président de l’Université n’a été officialisée que vers 21 heures », ont-ils martelé. Avant d’ajouter que « les 3 ministres qui ont fait le déplacement à Mahajanga pour résoudre le problème ont refusé de rencontrer les Zanaka Sakalava ». Ils n’auraient donc écouté qu’un seul son de cloche.

Injustice. Les « Raiamandreny » venant de la Région Boeny estiment en effet que le limogeage de Rabesa Zafera Antoine est injuste. Une injustice qu’ils entendent refuser par tous les moyens. « Nous sommes prêts à verser notre sang si c’est nécessaire », a-t-on fait savoir. Une déclaration reflétant la gravité de la situation actuelle à Mahajanga, engendrée notamment par un risque d’affrontement entre deux tribus. Pour éviter le pire, les Ibrahim, Alain Nestor, Prince Abdul Karim et Amisy Tibotibo lancent un appel aux autorités afin d’annuler le limogeage du président de l’Université de Mahajanga. D’après eux, ce dernier était en mission à l’extérieur le jour de la manifestation. « Ambondrona est devenue une Université pilote depuis qu’il a occupé ce poste », a-t-on indiqué. D’après les explications, 25 % des étudiants seulement ont participé à la grève et 95 % des enseignants refusent actuellement de reprendre les cours jusqu’au retour de Rabesa Zafera Antoine. Faut-il rappeler que les cours à l’Université de Mahajanga sont suspendus pendant un mois.

Davis R

Lundi noir : Courts attaque l’Etat malgache devant la justice internationale

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Des entreprises ont été brûlées sans que l’Etat n’intervienne.
Des entreprises  ont été brûlées sans que l’Etat n’intervienne.
Des entreprises ont été brûlées sans que l’Etat n’intervienne.

Au lendemain du retour à l’ordre constitutionnel, les victimes du pillage du lundi noir orchestré dans le cadre de la révolution orange, refont surface.

D’après une information parue le 10 janvier dernier dans la Lettre de l’Océan Indien (LOI), les sociétés Courts Ltd (Océan Indien) et Courts Madagascar ont déposé une requête en arbitrage devant le Centre International de Règlement des différends relatifs aux Investissements (CIRDI), le 23 décembre dernier.  Dans cette affaire qui résulte des événements du fameux lundi noir du 26 janvier 2009, la société Courts Madagascar estime qu’elle n’a pas bénéficié des protections qu’elle devrait avoir des forces de sécurité publique. Une manière, en somme pour cette entreprise d’envergure internationale de mettre en cause les responsabilités de l’Etat malgache dans les sinistres qu’elle en subit dans cet événement tragique. Faut-il en effet rappeler que les magasins et entrepôts de Courts Madagascar aussi bien à Antananarivo qu’à Antsirabe ont fait l’objet d’actes de pillage et de vandalisme sans que l’Etat malgache responsable du maintien de l’ordre et de la sécurité publique ne soit intervenu pour protéger les investissements de Courts et de nombreuses autres entreprises victimes.

7 millions de dollars. Dans cette affaire, Courts estime à 7 millions USD le montant des préjudices subis. Cette société mauricienne soutient dans l’action en justice que l’Etat malgache n’a pas fait face à sa responsabilité internationale, notamment  l’obligation de protection de la part d’un Etat en faveur  d’un investisseur étranger. Il s’agit d’une obligation qui a une base légale, puisque Madagascar et Maurice ont signé un Accord de Protection des Investissements (API). En termes juridiques, il s’agit d’un contrat légalement formé qui s’impose aux parties au même titre que la loi. En tout cas, Courts entend bien faire valoir ses droits et a fait appel à de grands conseils internationaux dont  Sir Hami Moollan de Port Louis (Maurice) et de Salim Moollan (Londres). A Madagascar Courts est défendu par Raphaël Jakoba du cabinet Madagascar Conseil International (MCI) qui a déjà assisté avec succès pas mal d’entreprises dans un certain nombre de litiges relatifs aux investissements devant une cour arbitrale internationale. Il s’agira probablement de la première affaire à suivre de l’après retour à la normalité constitutionnelle.

R.Edmond

CJSOI : La 1re action à Madagascar du 10 au 14 février

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Le calendrier 2014 de la Commission de la Jeunesse et des Sports de l’Océan Indien est prêt. En cette année des Jeux du 7 au 14 décembre à Djibouti, le programme comptera au total 19 activités. C’est Madagascar qui accueillera la première action 2014 avec l’organisation d’un stage de perfectionnement pour dirigeants féminins, prévu du 10 au 14 février. Les 9es Jeux de la CJSOI, prévus pour ce mois-ci, repoussés, c’est donc par un stage de perfectionnement que débutera la nouvelle année pour la CJSOI. Une année qui ne comportera pas beaucoup de compétitions comme c’est toujours le cas, l’année où sont prévus les Jeux. En parlant des 9e Jeux justement, il convient de souligner que la réunion des experts se déroulera du 5 au 7 mars, à Djibouti, l’occasion pour les représentants des pays membres (Maurice, La Réunion, Seychelles, Madagascar, Comores, Mayotte et Djibouti) de faire un état des lieux.

Calendrier
Février (10-4): Stage de perfectionnement des dirigeants féminins à Madagascar.
Mars (5-): Réunion des experts à Djibouti.
Mars (date à finaliser): Réunion de la CONFEJES (à déterminer).
Avril : Stage CONFEJES en athlétisme à Maurice.
Mai (20-24): Formation à l’ingénierie de projet d’accompagnement des jeunes en situation difficile à Maurice.
Mai (23-25): Tournoi de Badminton à Maurice.
Juin: Formation des Ambassadeurs Jeunesse à Mayotte.
Juin: 2e étape de l’atelier sur l’illettrisme à La Réunion..
Juillet (21-27): Compétition de boxe à La Réunion..
Juillet: Séminaire sur la perfectionnement à la GAR/Stage de perfectionnement des coordonnateurs nationaux du FIJ à Madagascar.
Août (11-16): Tournoi de football féminin à Mayotte.
Août: Compétition de natation aux Seychelles.
Septembre (21-26): Stage de formation sur l’organisation des activités culturelles à finalité éducative aux Seychelles.
Septembre: Stage de perfectionnement des cadres techniques sur la préparation physique des athlètes à Madagascar.
Octobre: Stage de perfectionnement des jeunes leaders sur la prévention des conduites adductives aux Comores.
Novembre: Stage de formation de cadres sportifs handisports.
Décembre (13): Célébration de la Journée de la Jeunesse de l’océan Indien dans tous les pays.
Décembre (7-14): 9e Jeux de la CJSOI à Djibouti.

T.H

Investiture en gestation

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Le président de la République Hery Rajaonarimampianina sera investi dans ses pouvoirs samedi 25 janvier à Mahamasina, huit jours exactement après la proclamation officielle des résultats définitifs du second tour des élections présidentielles par la Cour Electorale Spéciale.  La Constitution de la quatrième République ne mentionne rien sur les détails du déroulement de la cérémonie de l’investiture au stade de Mahamasina. Elle dit tout simplement que « La passation officielle du pouvoir se fait entre le Président sortant et le Président nouvellement élu ». Qu’avant son entrée en fonction, le Président de la République, en audience solennelle de la Haute Cour Constitutionnelle, devant la Nation, et en présence du Gouvernement, de l’Assemblée Nationale, du Sénat et de la Cour Suprême, prête serment. Que son mandat commence à partir de cet instant. Une nouvelle page d’histoire commence pour les Malgaches.

Investiture en gestation

            Les traditions obligeront-elles à se référer aux investitures antérieures de président de la République à cet endroit ? La plus proche est celle de Marc Ravalomanana réélu en 2006. Mais rien ne dit que le nouveau président de la République va suivre à la lettre ce qui a été fait à cette époque. Il peut aussi se dérober du modèle Andry Rajoelina investi président de la Transition à Mahamasina  mais doté des pouvoirs d’un président de la République sans sortir d’une élection au suffrage universel direct.  Néanmoins, il est commun à toutes les investitures de présidents de la République de recevoir au cours de la cérémonie des mains du grand Chancelier la rosette de la Grand-croix et le Grand collier de Grand Maître de l’Ordre National. Il recevra aussi par la même occasion les honneurs militaires et passera en revue les troupes avec le titre de chef suprême des armées qui lui échoit.  D’habitude, plusieurs coups de canons seront tirés par l’artillerie à partir d’Ambohijanahary pour saluer l’investiture du nouveau président de la République. La nation entière écoutera avec toute son attention l’allocution que le président Hery Rajaonarimampianina prononcera.  Elle veut connaître davantage celui qui affirme avec détermination l’objectif de sortir le pays de la crise. A chacune de ses interventions depuis la proclamation des résultats définitifs de l’élection présidentielle, les trois mots-clés qui reviennent souvent sur ses lèvres sont « Fihavanana» «social » et «économie». Hery Rajaonarimampianina n’accepte aucune exclusion. « Je suis le président de tous les Malgaches » a-t-il déclaré pour rassurer tout le monde. Bien qu’issu de la Transition, il est celui qui veut marquer la différence pour son mandat de cinq ans à la tête de l’Etat.

Zo Rakotoseheno

Météo : La partie Nord du pays sous avertissement

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Les sinistrés de Boeny totalement désemparés. (Photo : Région Boeny)
Les sinistrés de Boeny totalement désemparés. (Photo : Région Boeny)
Les sinistrés de Boeny totalement désemparés. (Photo : Région Boeny)

L‘avis d’avertissement ou alerte verte est toujours maintenu pour les districts dans les régions de Diana, Sava, Sofia, Analanjirofo, ainsi que les districts de Toamasina I et II, Ambatondrazaka et Amparafaravola. Autrement dit, c’est donc le cas en général pour la partie Nord et certaines parties Est du pays. En fait, c’est dû à la formation de la  masse nuageuse dense dans l’Océan Indien, qui apporte des pluies abondantes pouvant être accompagnées de coups de vent sur la partie Nord de l’île, pendant les trois jours à venir. En outre, les avis d’alerte bleue sont également maintenus pour les régions de Boeny, de Melaky, de Menabe ainsi que celle du Sud-Ouest. Selon la Météo donc, la population doit rester vigilante face aux crues des rivières. Et c’est également valable pour les pêcheurs et les plaisanciers, surtout pour ceux qui se trouvent entre Nosy-Be et Toamasina. Par ailleurs, le BNGRC, en travaillant main dans la main avec l’Etat et les partenaires techniques et financiers (associations, Ong, les organes des Nations Unies,…), assure que le plan de contingence mis en place fonctionne parfaitement, tout en affirmant en revanche que les «Risques 0» ne sont pas atteints, «comme chez tous les grands pays développés d’ailleurs, à cause de l’obstination de certaines personnes à affronter le danger», pour faire allusion aux nombreux dégâts et pertes humaines enregistrés dans le pays.

Arnaud R.