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mardi, juillet 29, 2025
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AngAroA : Ça va envoyer du lourd !

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Dix ans que le groupe évolue sur la scène underground. Dix ans qu’ils vont marquer par la sortie d’un premier album. En attendant, ils vont retrouver leurs inconditionnels pour un live.

 

Power metal, black metal, death metal, et même du punk rock… ils ont touché à tout, histoire de trouver ce qui sera plus tard, leur signature. Tant que ça secoue et n’endort pas le public ! Mais il ne faut pas penser non plus que le groupe joue dans la facilité ou à tort et à travers.

Copie-de-angaroaL’aventure ? Elle débute en 2002, à l’initiative de deux amis d’enfance, Jimi et Tsanta. Soutenu par le père de ce dernier, ils décident de se lancer dans le monde professionnel. Pour un groupe de rock, il faut cependant que ça groove, que ça tape fort. Et avec seulement deux personnes, ce n’était pas faisable. En 2004, Tomi, Orad Manalina et Eric rejoignent l’équipe. Ce n’est que deux ans plus tard qu’une occasion se présente à Eric et ses amis, pour montrer de quel bois ils se chauffent. En 2006, ils partagent la scène avec deux autres groupes : The Mushrooms fever et Good for nothing. Un évènement qui leur sort du statut d’anonyme. Le groupe ne connaît pas pour autant la gloire. Elle est connue mais seulement sur la scène underground. Une situation à laquelle les membres vont remédier. Pour ses dix ans de scène, AngAroA prévoit en effet de franchir un plus grand pas et conquérir un autre public. Cette année, Jimi et ses compagnons de scène prévoient de sortir leur premier album. En attendant la sortie de cet opus, la formation donne rendez-vous à ses inconditionnels et à tous les amoureux du rock… au Pub Ambatonakanga le 25 janvier. L’occasion pour le quintette de donner un aperçu de son album. Bercés par AC/DC et Metallica dans leur adolescence, Jimi, Tsanta, Tomi, Orad et Eric vont consacrer une partie du live pour rendre hommage à leurs idoles. Outre leurs propres compositions, les titres phares des artistes mentionnés et ceux d’un grand nom du rock malgache : Doc Holiday, vont également composer le répertoire. Avis aux amateurs !

Mahetsaka

Atallah Béatrice : A l’Assemblée Générale du RECEF au Mali

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Atallah Béatrice prendra probablement la parole à Bamako.
Atallah Béatrice prendra probablement la parole à Bamako.
Atallah Béatrice prendra probablement la parole à Bamako.

Le président de la CENI-T, Atallah Béatrice entame une série de visites en Afrique et en Europe pour renforcer la présence de l’administration électorale malgache au niveau régional et international. Sur l’invitation du Réseau des Compétences Electorales Francophones (RECEF), Atallah Béatrice représentera la CENI-T à l’Assemblée Générale et au séminaire électoral du RECEF, du 21 au 23 janvier 2014. Ladite AG se tiendra à Bamako, au Mali. Avec comme thème, « La consolidation et la professionnalisation des organismes de gestion des élections ».

Expériences mutuelles. Atallah Béatrice a déclaré avant son départ pour le Mali, « C’est un grand honneur pour moi d’avoir été invitée par le RECEF à Bamako. Cette occasion me permettra d’échanger avec mes collègues étrangers nos expériences mutuelles au sein de la plate-forme francophone ». Après la capitale malienne, elle visitera le siège de l’OIF à Paris, avant de rencontrer les représentants de l’Union européenne action extérieure (services géographiques et services élections) et le projet observation électorale et soutien à la démocratie de la commission européenne à Bruxelles.

Recueillis par Dominique R.

Toliara : Tratran-dramatoa teo am-pandriana ny vadiny sy ny mpiasany

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Nahatsikaiky ny tranga niseho omaly maraina tany Toliara. Rehefa niditra tampoka avy tany an-tsena ramatoa dia tratrany niboridana nihanoka fitiavana sy niray nampitombo taranaka teo ambony fandriana ny vadiny sy ilay mpiasa an-tranony, samy tsy nisy naha hetsika ireto mpangala-pitiavana ireto. Ny fivazavazan-dramatoa mafy no nanaitra ny manodidina. Nitangorona ny olona tia raha, ka afa-baraka rangahy ary tsy nahitan-teny mihitsy.

« Efa tsy matiko lolo ny fihetsiky ny vadiko sy ity mpanampy ahy ity hatry ny ela. Tsy mba olon-kafa ve no ampirafesanao ahy, fa dia solafa ato an-trano », hoy ilay ramatoa. Raha zohina ny fandehan’ny tantara dia efa ela « rapatron » sy ity mpanampy vavy bikana tsara tarehy ity no niaraka. Asa angamba, ramatoa vadiny efa somary mitarazoky ny taona (soara) no tsy zakan-drangahy, ka nanaitra azy hifankatia tamin’ny solafany mbola mijaridina tsara sy mijoro sady « miboenatra » ny aoriany, ka nataony ho vady kely tao an-trano ho rafivavin-dramatoa.

Tsy hay izay niafaran’ity raharaha ity, fa nanomboka niparitaka ny olona manan-katao, fa ireo zara aza mahita filma hojerena no mbola nitangorona teo amin’ity tranga ity. Maro ihany, hoy ny tsy mahay manias, ny mpampiasa na ny zanany lahy mifankatia amin’ny mpanampiny. Tsy maka lavitra e !

Manitrisa

Tourisme : Un objectif de 9 atterrissages par jour

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Une étude sera menée dans les sites touristiques où il y a le plus de visites et de destinations, comme Nosy-Be, Fort-Dauphin ou Antananarivo, dans le dessein de résoudre le problème de transport. En effet, un appel d’offre a été lancé par le PIC (Pôle intégré de croissance), financé par la Banque mondiale, pour réaliser cette étude. Le cabinet d’étude Europraxis AIG a été retenu pour ce faire. Une rencontre entre les représentants de ce cabinet et le secrétaire général du ministère du Tourisme s’est tenue hier pour le recueil de données et d’information sur les politiques du ministère, face à ce projet. « Pour le ministère, ce projet s’inscrit dans le cadre de son but d’atteindre 600 000 touristes en 2020. Pour cela, Madagascar devrait améliorer la capacité d’accueil aérienne. Actuellement, la Grande Ile reçoit près de 288 000 touristes par an, soit entre 2 à 4 atterrissages d’avion par jour avec une moyenne de 200 passagers. Avec les 600 000 touristes il faudrait au moins 9 atterrissages par jour », a indiqué le représentant du ministère du Tourisme. Par ailleurs, un atelier aura lieu le 27 janvier prochain à l’hôtel IBIS pour les détails du projet. Toujours dans le cadre de la promotion du tourisme, des rencontres ont eu lieu entre l’Ambassade de L’Afrique du Sud, le ministère du Tourisme et les partenaires techniques comme l’ONTM, Air Madagascar, le ministère du Transport, etc. pour affilier  la relation de partenariat. Dans ce cadre, a été adoptée une commission mixte sous la direction du ministère des Affaires Etrangères.

Antsa R.

Vol de munitions : Une reconstitution bâclée

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L’enquête n’a pas attendu longtemps à être ouverte. Le week-end dernier, les constatations d’usage suivies d’une première reconstitution ont été faites à la soute à bombe de la Base Aéronavale d’Ivato (BANI). Ce qui a permis aux limiers de la gendarmerie de déterminer le nombre exact des munitions volées. De sources informées, ce sont 4 000 projectiles de 9mm, principalement utilisés pour des pistolets automatiques et quelquefois pour des kalachnikov qui ont été emportés par des malfrats. Il n’y avait aucune effraction, ce qui laisse à penser qu’il y a un vol bien organisé et dont la complicité entre plusieurs personnes n’est pas à écarter. La reconstitution a essayé de trouver la manière dont l’acte se serait produit. « Pour l’instant, il y a trop de choses qui ne tiennent pas la route » a-t-on appris d’une source proche du dossier. La même source d’indiquer qu’un ordre venant de haut lieu invite les responsables du traitement de ce dossier à établir une investigation approfondie et minutieuse. Dans la foulée, des officiers et d’autres soldats ont déjà été entendus dans le cadre de l’enquête judiciaire. Aucune information n’a filtré pour l’instant, secret de l’enquête étant. Un officier militaire apporte son point de vue en écartant l’hypothèse d’un braquage. « Il est  utopique de braquer une soute à bombe. La sécurité d’un tel endroit est l’une des plus importantes dans une organisation militaire. Des véhicules d’entreprise font le va-et-vient dans cet endroit pour transporter des explosifs destinés aux mines. C’est plutôt une telle situation qui pourrait apporter plus de lumière dans cette affaire »,  explique-t-il. Une manière, sans aucun doute, pour lui de souligner que si la reconstitution tente d’établir l’hypothèse d’un braquage, cela n’apporterait rien. L’enquête suit son cours, au même rythme que la propagation des rumeurs. Comme quoi, selon des intox, le Régiment Militaire de Toamasina et de Toliara auraient vu leur magasin d’armes braqué. « Nous avons recoupé ces ‘informations’ aux chefs militaires concernés. Ils ont été tous catégoriques pour les nier. A vrai dire, ce ne sont que des rumeurs qui essaient sûrement de trouble l’ordre public » nous a appris une source militaire.

D.R

Développement : Madagascar sur les traces des pays asiatiques

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Le boom économique  des pays émergents d’Asie peuvent servir de modèle pour le développement de Madagascar.

Dans cinq ans le Bangladesh sortira du club des pays  d’Asie les moins développés. Citée hier par le Professeur Jean Pierre Lehmann lors d’une conférence-débat organisée par le Groupement des Entreprises de Madagascar (GEM) et le groupe SOCOTA, cette information interpellera probablement  les dirigeants et toutes les entités politiques ou économiques quant à l’avenir économique de Madagascar qui se trouve actuellement dans le rang des pays les plus pauvres du monde.

L’heure africaine. Pour le Professeur Lehmann, l’heure africaine est maintenant là et Madagascar pourrait faire partie des prochains pays émergents en Afrique. Ce Professeur Emérite d’IMD (Institute for Management Development) à Lausanne prend pour témoin le décollage économique de beaucoup de pays asiatiques comme le Japon et la Chine qui figurent actuellement parmi les grandes puissances mondiales. Ou encore, « la Corée du Sud, qui, en deux décennies est passée du statut d’un pays extrêmement pauvre, à celui de 12e rang mondial en termes de bien-être de sa population grâce notamment à une politique industrielle visant l’exportation ». Il y a également le Vietnam qui, en s’ouvrant aux investisseurs étrangers  et en mettant l’accent sur l’éducation de sa population, est  passée du 187e au 134e rang mondial  en une vingtaine d’années, selon les indicateurs de la Banque Mondiale.

Outre, le principal conférencier, le Pr Jean-Pierre Lehman, les intervenants, dont SEM François Gooldblatt, Ambassadeur de France, Noro Andriamamonjiarison Président du GEM, Salim Ismail PDG du groupe SOCOTA, Sahondra Rabenarivo Juriste Associée de Madagascar Law Office ont mis en avant les leçons à tirer de ces trois modèles de développement pour Madagascar.

Ouverture intelligente. D’après ces conférenciers Madagascar peut, comme ces pays l’ont fait, pratiquer une politique d’ouverture intelligente, qui s’appuie sur les richesses du pays, mettre en place un environnement des affaires qui suscite la confiance des investisseurs, entretenir une relation plus étroite avec la diaspora, pratiquer des politiques orientées vers l’éducation, la santé et les infrastructures ainsi que le renforcement des capacités techniques et administratives. Placée sous le thème « Les perspectives de Madagascar dans un monde en transformation », cette conférence qui s’est tenue à l’IFM, et qui sera probablement suivie d’autres, a pour vocation de faciliter une rencontre du secteur privé avec des étudiants de l’enseignement supérieur malgache. Ils étaient d’ailleurs 200 étudiants en fin de cursus universitaire à y avoir assisté.

R.Edmond.

Concours photo sport : Les 20 photos finalistes sont connues

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Les membres du jury qui ont sélectionné les 20 meilleurs clichés.
Les membres du jury qui ont sélectionné les 20 meilleurs clichés.
Les membres du jury qui ont sélectionné les 20 meilleurs clichés.

A partir de maintenant, c’est au grand public de faire son choix pour les photos du « Concours photo sport ». Le jury a choisi 20 photos et au lecteur de les classer selon sa vision de la chose. « Nous avons opté pour les photos originales, qui incitent à la pratique sportive et surtout qui sont en action », a indiqué Hervé Ravoninjatovo, président du jury du concours. Sur les 1 202 photos recueillies, le basket-ball a été le plus représenté. Mais chose bizarre, les arts martiaux ne sont pas du tout présents.  « Je pense qu’un concours photo spécial arts martiaux s’impose », a déclaré Sarindra Nastine de la Maison du sport, initiatrice du projet. « Cela n’a pas été facile. Mais c’est beau de voir les photos et surtout la participation des gens pour le développement du sport ».

Lancé en décembre dernier, le concours laissait libre cours à chacun d’envoyer des photos non retouchées, et qui incite à la pratique sportive, qui parle de sport. En collaboration avec le ministère des Sports, Tafita, l’Académie nationale des sports, la fédération malgache de triathlon, Midi Madagasikara, RDJ et l’AMAO, ce concours est une première à Madagascar. « Nous appuyons ce genre de concours car cela démontre l’implication des gens dans le sport, a déclaré le ministre Botralahy Gérard. Tiana Raoelina, président de la fédération malgache de triathlon a appuyé «  l’initiative est belle. Elle représente la valeur du sport. Le triathlon marche avec ». Quand le grand public aura fait son choix, via les bulletins de participation dans Midi Madagasikara, les photos seront traitées pour les préparer aux expositions publiques et pour embellir l’Académie nationale des sports.

Anny Andrianaivonirina

FDL – Programme Matoy : Coopération pour un espace favorable au développement local

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Un protocole d’accord de partenariat a été signé hier entre le Fonds de développement local (FDL) et le Programme Matoy financé par la Coopération Suisse. Ce partenariat vise la promotion du développement économique territorial. Un plan d’action sera élaboré d’ici peu, pour déterminer les interventions à entreprendre.

Cette coopération n’est pas nouvelle. Cette fois, les régions d’intervention seront Menabe, Vakinankaratra et Amoron’i Mania. Ce qui regroupe cinq Organismes publics de coopération intercommunale, ou 40 Communes. « Ce partenariat durera trois ans, de 2014 à 2016. Parmi les actions prévues figurent le renforcement de capacité et la mise à disposition d’outils et de moyens pouvant aider à favoriser les activités du secteur privé et l’amélioration du niveau de vie de la population. Bref, l’objectif est donc de mettre en place un espace favorable au secteur privé, surtout aux microproducteurs. Le FDL a plus d’expérience et de savoir-faire en matière d’intervention pour le développement économique des territoires. C’est pour cela que nous avons sollicité cette coopération », a déclaré Feno Andriamanalina, directeur national du Programme Matoy.

Pole de développement. La collaboration entre le FDL et la Coopération Suisse est déjà de longue date. Notons que le FDL intervient déjà dans plus de 1 200 Communes de la Grande Ile. La Coopération Suisse, de son côté, œuvre pour le développement à Madagascar depuis 50 ans. Les deux entités ont déjà établi un partenariat pour la réalisation de nombreux projets comme l’élaboration de la politique nationale de décentralisation et de déconcentration, l’amélioration de compétence des représentants des collectivités, le budget participatif, l’application de la réforme fiscale, etc. Avec ce nouveau partenariat, un plan d’action sera bientôt élaboré et dont la réalisation sera financée par les deux parties. Cette fois, l’objectif est de faire des régions bénéficiaires, un pole de développement économique territoriale.

Antsa R.

Hery Rajaonarimampianina : Vers un gouvernement d’ouverture

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L’avis est partagé : Le HVM (Hery Vaovao ho an’i Madagasikara) qui a présenté Hery Rajaonarimampianina ne peut pas gouverner seul le pays, avec la nécessité de restaurer la stabilité politique, condition exigée par la Communauté Internationale pour la reprise de ses aides. Pour cela, l’idée d’un gouvernement d’ouverture fait son bon chemin. D’après nos sources, la communauté internationale, en particulier les grandes puissances politiques et économiques du monde qui s’intéressent à Madagascar encouragerait la mise en place de ce gouvernement d’union nationale. Reste cependant à savoir si cette ouverture se limiterait entre ceux qui épousent les mêmes convictions politiques ou s’étendrait aux autres forces politiques  ou aux autres personnalités qui ont évolué dans le camp adverse, mais qui sont susceptibles d’apporter leurs contributions au redressement du pays.

RAJAOFERA Eugène

Tapatapany

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Toliara : “Soldat” very kalachnikov

Miaramila iray no very basy rehefa niampita rano tamin’ny faran’ny herinandro teo. Kalachnikov no nentiny ary io no nentin’ny rano, raha araka ny fanampim-baovao azo. Tsy nafeniny ny zava-nisy ary nampahafantarina ny tompon’andraikitra isan’ambaratongany, tonga hatrany amin’ny minisitera tompon’andraikitra.

Antohomadinika : 15 lahy nanolana mpandeha an-tongotra

Nanendaka aloha izy ireo ary rehefa hitany fa tsy nisy na inona na inona azo nalaina teny amin’ireo olona natao lasibatra, nivadika fanolanana ny raharaha. 15 lahy no nifandimby nanao ny filan-dratsiny. Nandeha ny famotorana nataon’ny pôlisy ary fantatra fa efa nisy telo voasambotra momba ity tranga mahatsiravina ity.

D.R