Tsy ny any ambanivolo ihany no mitondra faisana amin’ny asan-dahalo any amin’ny faritra atsimon’ny Nosy fa hatramin’ny ao an-tampon-tanànan’i Toliara koa. Ny asabotsy teo dia renim-pianakaviana iray monina ao amin’ny fokontany Tsimenatse II no nanao filazana tamin’ny onjam-peo tsy miankina, mahakasika ny fahaverezan’ny ombiny efatra, ka anisan’izany ilay omby vavy sy ombin-tsarety tena tsy foiny. Tsy milamina ny tany amin’izao ary sahy mihantsy hatramin’ny mpitandro filaminana ny olon-dratsy. Rehefa lany sy miha ritra ny omby any ambanivohitra (ambala) dia miakatra « ville » ny malaso amin’izao. Somary takon’ny propangady ny lafiny tsy fandriampahalemana ka migalabona ny olon-dratsy. Sahy ny olon-dratsy amin’izao. Mbola omby vavy be ronono efatra anampitsara no nisy nangalatra teny Imerimanjaka Ambohinjanaka ny misasak’aliny 5 desambra lasa teo. Bandy dimy no voalaza fa nanao ny « opération ». Tsy tao an-trano ity mpitsara ity, fa ny vadiny sy ny mpanampin’izy ireo no tao ary tsy nisy naheno ny zava-nitranga ireto farany. Taorian’ny fampandrenesana ny Zandary dia omby telo no hita tamina trano iray tsy lavitra teo. Mbola karohina kosa ny omby iray.
La population de Madagascar ne manquera pas de juger les dirigeants à élire prochainement sur leur manière de mener le combat contre la corruption. Photo d’archives.
La population de Madagascar ne manquera pas de juger les dirigeants à élire prochainement sur leur manière de mener le combat contre la corruption. Photo d’archives.
Ce jour, 9 décembre, est célébrée la journée internationale de lutte contre la corruption. L’occasion d’aborder la situation locale par rapport aux autres pays.
La corruption figure sans doute parmi les plus grands défis de Madagascar. Dans le pays, ce phénomène a, certes, existé depuis longtemps, mais a été en forte recrudescence ces dernières années. L’ONU qualifie la corruption de « phénomène social, politique et économique complexe » qui « contribue à l’instabilité gouvernementale, s’attaque aux fondements des institutions démocratiques en faussant les élections, en corrompant l’État de droit » et « ralentit le développement économique en décourageant les investissements directs à l’étranger et en plaçant les petites entreprises dans l’impossibilité de surmonter les ‘coûts initiaux’ liés à la corruption ». Autant d’indices qui tendent à se vérifier à Madagascar.
Classement IPC. Le dernier classement international de Transparency International, du degré de perception de la corruption, publié la semaine dernière à Berlin, place Madagascar à la 127e place sur 175 pays. Huit autres pays se trouvent au même rang : Mali, Comores, Pakistan, Liban, Gambie, Nicaragua, Russie et Azerbaïjan. Ce classement indique l’indice de perception de la corruption (IPC) établi à partir de données recueillies par 13 institutions internationales dont la Banque mondiale, la Banque africaine de développement, la Banque asiatique de développement, le Forum économique mondial, etc. Il indique la perception par les acteurs de la vie économique de la corruption qui affecte plusieurs facettes de la vie publique, notamment l’ensemble des services publics, le système judiciaire, les partis politiques, etc. Cet indice, compris entre 0 et 100, informe sur la perception de la corruption dans un pays : plus l’indice est élevé, moins le pays est corrompu et plus l’indice est bas, plus le pays est rongé par la corruption. Madagascar affiche sur ce classement un score de 28 sur 100, contre 32 en 2012. En d’autres termes, la Grande Ile est le 48e pays le plus corrompu au monde. Au bas du classement se trouvent le Soudan (174e) et trois pays classés 175e à savoir l’Afghanistan, la Corée du Nord et la Somalie tandis qu’en pole position se trouvent le Danemark et la Nouvelle Zélande, des habitués de la tête du classement, suivis de la Finlande et de la Suède, toutes deux troisièmes et la Norvège, 5e avec le Singapour.
Toamasina. Madagascar, à l’instar de nombreux pays à travers le monde, célèbre ce jour 9 décembre, la journée internationale de lutte contre la corruption. La ville de Toamasina abrite depuis le week-end dernier, trois jours de manifestations culturelles (théâtre, concours de poèmes, radio crochet) et sportives (foot, basket) autour de la thématique de la lutte contre la corruption. Les manifestations prendront fin ce jour par une cérémonie officielle de célébration, un carnaval à travers la ville, une journée d’exposition et la signature du « manifeste d’intégrité ». Fidèle au thème choisi pour cette année, cette célébration locale met l’accent sur la volonté des gouvernants et de tous les citoyens, à combattre le fléau. Si au niveau mondial, le thème pour cette année 2013 est : « Zéro corruption, 100 % développement ».
Hatreto dia tsy mbola nisy fanadihadiana izay nanamarina ny hanaovana ireo taolam-balo.
Hatreto dia tsy mbola nisy fanadihadiana izay nanamarina ny hanaovana ireo taolam-balo.
Tetsy Androhibe-Atsimondrano no nisian’ity famakiana fasana ity. Razana 19 no indray tsy hita ny taolambalony rehefa natao ny fanisana. Ny asabotsy teo no nisy nahatsikaritra fa misokatra midanadana fotsiny ny varavaram-pasana. Nanomboka teo no nitsirihana izay mety ho zava-nisy. Tsy nisy afa-tsy ny karandoha sisa no navelan’ireo olon-dratsy tao. Asa, mety tsy lafo angamba izy ireny na koa tsy mifanaraka amin’ny filan’ireo mpividy taolam-paty. Hatreto dia tsy mbola nisy fanadihadiana na dia iray akory aza, mba nahafahana nahalalana ny marina momba ity karazana halatra ity. Betsaka ny efa voasambotry ny mpitandro ny filaminana ,saingy hatreto dia tsy mbola nisy nahafantaran’ireo ny fandehan’ny trafika izany. Vokatr’izany, mijanona eo amin’ny honohono fotsiny sisa ny fahafantarana ny mety hanaovana ireo taolambalo. Na ireo olona voasambotra aza indraindray dia milaza fa tsy mahafantatra akory izay mety hanaovana azy ireny na koa izay tena hividy azy. Dia nionona amin’izay ihany koa ireo mpanao fanadihadiana, mitovy amin’ny olon-drehetra ihany ny fantany. Dia verivery fotsiny ny taolambalon’ny maty, ny razana izay isan’ny manan-danja amin’ny kolontsaina malagasy. Handaniana volabe ny fanaovana fasana, ny famadihana sy ny fomba hafa mifandraika amin’izany. Nefa dia very fotsiny ireo taolambalo aty aoriana anaovan’ny mpangalatra azy…
Hery Rajaonarimampianina a fait une démonstration de force à Mahajanga.
Hery Rajaonarimampianina a fait une démonstration de force à Mahajanga.
“Ny erikerika maha-tondra-drano”. Cela veut littéralement dire « les petites pluies peuvent provoquer une inondation ».
Transposé aux élections, le dicton ci-dessus signifierait que « l’ensemble des petits nombres de voix pourrait entraîner un raz-de-marée ». A même de propulser un candidat en haut du tableau au soir du scrutin. C’est le cas du poulain de « Hery Vaovao ho an’i Madagasikara » à qui ne s’applique pas, par contre, l’adage « Tahaka ny ranon’Ikopa, tonga namana vao mavomavo ». Et dont la traduction serait « comme le fleuve de l’Ikopa qui jaunit au contact de ses affluents ». Natif de l’Avaradrano où coule d’ailleurs l’Ikopa, Hery Rajaonarimampianina ne change pas de couleur avec l’apport de ses alliés. En l’occurrence, Roland Ratsiraka (9%) ; Randriamampionona Joseph Martin dit Dadafara (2,33%); Voninahitsy Jean Eugène (2,14%) ; Julien Razafimanazato (1,60%) ; et Patrick Raharimanana (0,44%).
Affluence monstre. Ces 5 candidats au premier tour ont effectivement accompagné le week-end dernier à Mahajanga le candidat n°3 qui a obtenu 15,85% au soir du 25 octobre dernier. Arithmétiquement, il est arrivé avec un capital de 31,36% dans la Cité des Fleurs où l’affluence monstre de la population était à la mesure même du « tambabe » des 5 candidats qui se sont affichés publiquement avec lui. Si on y ajoute les 2,68% de Pierrot Rajaonarivelo et les 0,22% de Rakoto Jean Pierre, cela ferait un total de 34,26% pour le poulain de « Hery Vaovao ho an’i Madagasikara » à une dizaine de jours du scrutin. Soit à mi-chemin de la campagne électorale où d’autres soutiens ne sont pas exclus dans les prochains jours.
Staff de Hajo. Même si Hajo Andrianainarivelo préfère se concentrer sur les législatives plutôt de se prononcer pour ou contre Untel, ses 10,54% sont déjà allés en partie à Hery Rajaonarimampianina, à en juger par la présence à Mahajanga de membres de staff de campagne du candidat de « Malagasy Miara-Miainga ». Pour ne citer que Rinah Rakotomanga qui portait la casquette et le T.shirt aux couleurs du candidat n°3. Lequel a drainé également du monde dans le fief natal de Zafy Albert à Ambilobe puis à Ambanja. Il a aussi et surtout bénéficié à Mahajanga de la présence d’Andry Rajoelina dont on ne peut chiffrer l’apport en voix car il n’était pas candidat à l’élection présidentielle. D’une chose, on est sûr, il a un certain poids sinon un poids certain qui pèserait forcément sur la balance des votes. Et ce, même s’il n’a pas le droit de prendre la parole durant les meetings de Hery Rajaonarimampiania, quoique la seule présence du TGV mettra sûrement « son candidat » sur les rails. Quant à la présence de Mamy Ravatomanga, elle dément les rumeurs selon lesquelles l’ancien Grand Argentier aurait été abandonné par ses sponsors et serait fauché.
Sur 17 équipes de football présentes au tournoi MA-Hery organisé par le candidat Dadou Andriambelo, l’équipe d’Andravoahangy Tsena a remporté la victoire au Foot à 7 en battant celle de l’ESCA par 4 buts à 3 aux termes d’un tir au but lors de la finale. L’équipe de MATV a remporté la coupe du fair-play. Au basket à 5, l’équipe de SBC s’est démarquée sur les 5 équipes présentes. Elle a battu en finale l’équipe de Before en 39 points à 35. Après les visites de quartiers et après avoir donné le coup d’envoi du tournoi Ma-Hery qu’il a parrainé, le candidat Dadou a assisté à la cérémonie qui s’est déroulée à l’ESCA Antanimena. Il a procédé à la remise de trophées pour les vainqueurs. Les organisateurs tout autant que les participants s’estiment satisfaits. Ces derniers n’ont pas hésité à exprimer leur soutien indéfectible au candidat Dadou, numéro 30 sur le bulletin unique des législatives du IIIe arrondissement
« Dada » reproche aussi à ses adversaires politiques, particulièrement au clan Rajoelina de vouloir provoquer des troubles.
A dix jours du second tour, l’ancien président, Marc Ravalomanana est monté au créneau pour dénoncer l’existence de fraudes électorales lors du premier tour de la Présidentielle qui s’est déroulé le 25 octobre dernier. Durant son intervention en direct par téléphone au Magro Behoririka, l’exilé politique d’Afrique du Sud a incité ses partisans à multiplier leurs efforts pour défendre leurs choix le 20 décembre prochain. « Le tolona ne prendra fin qu’au retour au pays de Dada », a-t-il soutenu. Il, c’est Ravalo qui, tout en se félicitant de la victoire de sa mouvance lors du 1er tour, a profité de cette occasion pour pointer du doigt les injustices et les « hala-bato ». « C’est injuste de voir que notre score qui était de 30% ait été diminué à 20% », a-t-il soutenu. Selon l’ancien président, « ces fraudes ont été constatées par les observateurs nationaux et internationaux, mais aussi par les Ambassadeurs de plusieurs pays européens qui m’ont rencontré en Afrique du Sud ». Par ailleurs, Marc Ravalomanana reproche à ses adversaires politiques, particulièrement au clan Rajoelina de vouloir provoquer des troubles. Il considère l’arrestation en pleine période électorale, du membre du Congrès de la Transition Hilarion Rarison, comme de la provocation. L’ex-président de la République a aussi pointé du doigt le laxisme de la Commission Electorale Nationale Indépendante de la Transition (CENI-T) et de la Cour Electorale Spéciale (CES) qui n’ont pas réagi face à ces injustices.
Illégalités. En outre, l’exilé politique d’Afrique du Sud a dénoncé le président de la Transition, Andry Rajoelina qui fait campagne aux côtés de son poulain, le candidat Hery Rajaonarimampianina. Une réalité qu’il considère de contraire à la Constitution et aux textes régissant les élections. « Qu’en est-il des principes de la neutralité des autorités », se demande « Dada ». Face à ces « problèmes », Marc Ravalomanana interpelle le Médiateur en chef, Joaquim Chissano et la présidente de la CENI-T, Béatrice Atallah. Selon lui, ces hauts responsables font deux poids deux mesures sur la situation à Madagascar. Une manière à lui de faire pression sur ces derniers afin de prendre leurs responsabilités pour mettre fin aux illégalités autour du processus électoral. Et ce, en vue de concrétiser la tenue d’élections véritablement libres, transparentes, démocratiques et acceptées par tous. « L’élection du 20 décembre prochain mettra fin à la crise si la CENI-T et la CES prennent leurs responsabilités et respectent leur neutralité », a martelé Marc Ravalomanana. Une interpellation qui survient à 10 jours du scrutin. Cette déclaration reflète également, en quelque sorte, que la mouvance Ravalomanana n’acceptera pas les fraudes lors du second tour. Au cours de cette intervention au Magro Behoririka, l’ancien président n’a pas manqué de rendre hommage à l’ex-président sud-africain Nelson Mandela.
Les membres du Syndicat Autonome des Travailleurs de la JIRAMA (SAT JIRAMA) ont décidé de soutenir le candidat Hery Rajaonarimampianina lors du second tour de l’élection présidentielle. C’est ce qu’a annoncé le président national du syndicat, Haja Maminirina au cours de la conférence de presse qui s’est tenue samedi dernier à l’Apart Hôtel. Une décision prise vendredi dernier au cours de l’Assemblée générale des responsables de la SAT Jirama venant des 22 régions. Pour ce syndicat, « l’élection de Hery Rajaonarimampianina constitue une solution aux problèmes de délestage qui frappent actuellement plusieurs localités ». Ce dernier, au cours de sa rencontre avec les représentants du SAT Jirama aurait promis la réalisation des différents projets proposés par les employés, entre autres, la construction d’une centrale hydraulique à Mahavola, capable de fournir 800 mégawatts, soit 8 fois supérieure à l’énergie obtenue à Andekaleka, et la mise en place de petites centrales hydrauliques et thermiques notamment à Antalaha et à Ambilobe. « Ces projets résoudront définitivement les problèmes de délestage, par ailleurs, l’installation n’excèderait pas trois ans », a soutenu Haja Maminirina. Et lui d’ajouter que les problèmes de délestage actuels sont causés par un manque de volonté politique des dirigeants. Selon ses dires, « Hery Rajaonarimampianina a déjà fait ses preuves lorsqu’il était ministre des Finances, car durant la période transitoire, le coût de l’Eau et de l’Electricité n’a pas augmenté malgré les fluctuations, l’inflation et la hausse des prix du carburant ». A noter que ce syndicat compte plus de 1 000 membres dans tous les districts de Madagascar.
Henintsoa Rakotoarimanana ou Tôta reprend les rênes de la ligue de football d’Analamanga. Il succède à lui-même en gagnant 11 voix sur 13 sections présentes. Un résultat probant qui parle de lui-même. Toutes les élections au niveau des ligues régionales devront être finies avant le 15 décembre. Une quinzaine de ligues s’y sont déjà soumises sauf celles de Sava, de Melaky et d’Anosy. Comme les mandats pour le milieu du football ont débuté en 2009 juste durant la crise, les 4 ans sont donc entamés. L’élection fédérale aura lieu normalement en 2014.
Un partenariat stratégique a été signé entre le forum Build Africa et le fonds Africa50 pour les infrastructures, du groupe de la Banque Africaine de Développement(BAD). En effet, le forum Build Africa vise à répondre au déficit d’infrastructures de l’Afrique. Du 5 au 7 février 2014, il rassemblera les décideurs publics et privés du monde entier, impliqués sur cette question, à Brazzaville, en République du Congo. « Build Africa est la plate-forme d’affaires et d’investissements, dédiée aux dirigeants pour les infrastructures en Afrique, tandis que le fonds Africa50 est le levier de la Banque Africaine de Développement pour le développement des projets d’infrastructures en Afrique. En travaillant ensemble, les deux organismes présenteront certains des projets d’infrastructures les plus innovants du continent et élaboreront un cadre pour structurer les futurs projets en Afrique », ont expliqué les représentants des organisateurs du forum.
Bons projets. Comme tout le monde le sait, la croissance économique dans les pays de l’Afrique est fortement ralentie par le déficit de ressources mobilisables et le manque de coordination autour des infrastructures. L’objectif du partenariat de Build Africa avec le fonds Africa50 est donc de promouvoir une meilleure compréhension des mécanismes permettant d’améliorer la qualité et les temps de livraison des projets, ainsi que d’encourager le développement de projets « banquables ». Selon la Banque africaine de développement, l’Afrique doit mobiliser 50 milliards USD supplémentaires par an pour ses infrastructures. Les données recueillies indiquent que 40% de la population n’ont pas encore accès à l’eau potable, 60%, n’ont pas accès à l’assainissement, 30% seulement ont accès à l’électricité et le coût de transport figure parmi les plus élevés au monde. Ces chiffres indiquent la situation générale dans les pays de l’Afrique. Pour Madagascar, le retard est encore plus grand. Pourtant, pourra-t-on enfin bénéficier de ces fonds à mobiliser pour le développement ?
Microsol de Schneider Electric, la technologie trois en un.
Microsol de Schneider Electric, la technologie trois en un.
Schneider Electric a lancé une nouvelle technologie produisant simultanément 50MWh d’électricité, 1000m3 d’eau potable et 800MWh d’énergie thermique par an. Cette nouvelle machine baptisée Microsol est destinée aux pays à forte ensoleillement comme Madagascar, permettant d’accéder à une électricité fiable, efficace et peu chère ; de produire de l’eau propre à la consommation de manière économique et constante ; et enfin de générer de la chaleur en continu et écologiquement. « Microsol peut aider les micro-industriels de l’agroalimentaire, du textile, ou encore du papier dans la transformation de matière première, en automatisant une partie de leur processus, à l’exemple du séchage, du lavage, de la pasteurisation, etc. Les industriels du tourisme peuvent également tirer de grands avantages avec cette technologie. Microsol peut également aider les pays les plus pauvres. Développée avec un souci de robustesse, la solution a une durée de vie prévue de 20 ans minimum », a déclaré le directeur de Développement durable de Schneider Electric.