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jeudi, août 7, 2025
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Quid du gouvernement

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Le divorce est consommé entre la mouvance Ravalomanana et le candidat du Avana Jean Louis Robinson qu’elle a soutenu aux élections présidentielles. Jean Louis Robinson a reconnu sa défaite en venant assister à la cérémonie d’investiture de Hery Rajaonarimampianina comme président de la République. La soumission aux résultats définitifs proclamés officiellement par la Cour Electorale Spéciale le gratifie d’un côté du titre de bon perdant et de démocrate mais de l’autre lui fait perdre le soutien de la mouvance Ravalomanana qu’il a entraîné dans la défense de son vote. Mais depuis l’avènement du nouveau président de la République, la mouvance Ravalomanana  a changé de stratégie. D’un côté, elle brigue le poste de « chef de l’opposition » qui aura le même statut légal qu’un vice-président d’institution à l’Assemblée et de l’autre, elle se bat aussi  pour obtenir des sièges au gouvernement de réconciliation nationale que le président Hery Rajaonarimampianina veut mettre en place.

Quid du gouvernement

              A l’Assemblée, rien n’est encore vraiment précis. A quelques jours de la proclamation des résultats officiels définitifs des législatives du 20 décembre, la majorité à l’Assemblée qui proposera le nom du Premier ministre est encore dans le flou.  Ce sera un parti ou un groupe de partis majoritaire ? Rien n’est encore vraiment tranché. Les députés élus provisoirement sont  en tractation depuis un bon moment pour mettre la main sur la primature. La question se pose de savoir si le retour à la démocratie et la volonté de réconciliation nationale feront bon ménage au gouvernement.  En effet, comment le président de la République voit-il  la composition du gouvernement ?  Si tout le monde est mis dans le même panier, l’opposition n’existera pas. La démocratie en prendra un coup. Et partant l’efficacité du gouvernement. En  vérité, les scénarii  ne manquent pas. Le gouvernement pourrait intégrer  en son sein les deux protagonistes de  la crise de 2009, aujourd’hui Mapar et mouvance Ravalomanana, mais dans ce cas, le président de la République restera sur le modèle de la transition. Un gouvernement « transition bis » a-t-elle les moyens de gagner les défis fixés dans le discours programme ? Qui n’avance pas recule, avertissent des observateurs.  La partie n’est pas gagnée d’avance pour le président de la République qui doit  malgré les contradictions politiques trouver et mettre les hommes qu’il faut à la place qu’il faut, en fonction des objectifs prioritaires.  Mais quoi qu’il en soit, il est indispensable d’avoir un gouvernement d’hommes convaincus, bien soudés et compétents pour réussir la réconciliation et combattre la pauvreté.  Et cela, sans oublier, bien sûr, cette citation de Confucius pleine d’enseignement, « sous un bon gouvernement, la pauvreté est une honte.  Sous un mauvais gouvernement, la richesse est aussi une honte. »

Zo Rakotoseheno

Ambatondrazaka : Nitoka-monina nandritra ny ora maro

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Noho ny firotsaky ny orana sy ny fiakaran’ny ranobe dia samy tapaka avokoa ny lalana  miditra sy mivoaka ny tananan’Ambatondrazaka, nanomboka ny sabotsy hariva faha 01 febroary ka hatramin’ny alahady faha 02 janoary  2014 maraina. Raha ny lalana mianavaratra aloha dia efa nandritra ny fotoana maro no tsy afaky ny fiara intsony, fa ny mianatsimo miakatra ny renivohitra no tena nanahirana ny mponina, satria tafahitsoka tao avokoa ireo fiara , na ny hianavaratra hiditra ny tananan’ Ambatondrazaka izany na ireo saika hivoaka ny Tanana. Tsy azo naleha mihitsy mantsy ny teo Manakambola,  3Km  miala ny tanana, fotaka mandrevo sy rano mihangona, izay  lalina, no teo amin’ny lalana ka tsy afaky ny fiara mihitsy. Natory teo avokoa ireo fiara saika hihazo an’Ambatondrazaka, lava dia lava rahateo ny lalana simba. Na ireo fiara vaventy feno solika   aza dia tsy afa nanoatra  fa dia samy natory tao ,naresaka vetivety ny tanana ,ary samy  mailo teo amin’ny fandriam-pahalemana ny rehetra. Fiara am-polony maro  sy vahoaka marobe no natory teo ka ny maraina vao nisy vatan-dehilahy tao an-tanana nanamboatra ny lalana tamin’ny angady sy nikarama, ary dia 5 000 Ar ny fampitana fiara iray. Efa hatry ny ela moa ny fahasimban’ity lalana Manakambola ity fa dia tsy mbola nisy ny fanamboarana hatramin’izao.

Janus R

Projet du MAPAR le 7 février : Un « Diabe » vers Ambohitsorohitra

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Le président de la Transition, Andry Rajoelina a dirigé la rencontre d’hier. (Photo : Kelly)
Le président de la Transition, Andry Rajoelina a dirigé la rencontre d’hier. (Photo : Kelly)
Le président de la Transition, Andry Rajoelina a dirigé la rencontre d’hier. (Photo : Kelly)

L’Association des Victimes du 7 février (AV-7) a déjà déposé une demande d’autorisation relative à cette manifestation auprès de la Commune urbaine d’Antananarivo.

Même si Andry Rajoelina n’est plus au pouvoir, les partisans de la plate-forme « Miaraka Amin’i Président Andry Rajoelina » (MAPAR) n’entendent pas laisser passer la journée du 7 février. En effet, ce parti entend profiter de la commémoration de la tuerie d’Ambohitsorohitra pour faire remarquer qu’il est encore présent sur l’échiquier politique national. Aussi les fidèles partisans d’Andry Rajoelina envisagent-ils une véritable démonstration de force samedi prochain. Après un culte œcuménique qui se tiendra au Gymnase couvert de Mahamasina, le MAPAR projette d’organiser un « Diabe » qui débutera à Mahamasina et prendra fin devant la stèle du 7 février à Ambohitsorohitra. Faut-il rappeler que le 7 février 2009, la grande marche des partisans de la Révolution orange s’est soldée par un affrontement meurtrier devant le Palais présidentiel. La question est donc de savoir si le MAPAR envisage de réécrire l’histoire et de provoquer le nouveau régime à commettre l’irréparable. En tout cas, l’Association des Victimes du 7 février (AV-7) a déjà déposé une demande d’autorisation relative à cette manifestation auprès de la Commune urbaine d’Antananarivo.

Scission. Dans le cadre de la préparation de cet évènement, une réunion à huis-clos des leaders du MAPAR s’est tenue hier au bureau de l’Injet à Ambodivona. Mis à part le président de la Transition, Andry Rajoelina et les députés élus provisoirement au nom de cette entité politique, des proches collaborateurs de l’ancien numéro Un d’Ambohitsorohitra et des parlementaires issus d’autres entités politiques ont également assisté à la rencontre. L’on peut citer entre autres, les Christine Razanamahasoa, Reboza Julien, Augustin Andriamananoro, Hery Rasoamaromaka, Pierre Houlder, Irma Naharimamy, Naivo Raholdina et consorts. Il convient de noter cependant qu’hier, l’on a pu constater que le MAPAR n’était pas au grand complet. Parmi les grands absents ont figuré entre autres, de grandes figures du TGV et du MAPAR, tels que Maharante Jean de Dieu, Tinoka Roberto et Lanto Rakotomavo. Même topo pour Norbert Lala Ratsirahonana qui ne s’est plus affiché aux côtés d’Andry Rajoelina depuis quelque temps. Pourtant, l’existence d’une scission au sein de cette plate-forme politique a été démentie par ses leaders hier. « Le MAPAR reste uni », a-t-il indiqué. A noter que le président de la Transition a dirigé une réunion restreinte entre quelques barons du TGV tout de suite après cette rencontre.

Davis R

Antsirabe : Folo lahy nirongo fiadiana nanafika, lasa ny 20 tapitrisa

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Nitrangana fanafihan-jiolahy indray tao Ambavahadimangatsiaka Antsirabe, ny  alahady 2 janoary teo tokony ho tamin’ny 12 ora alina. Voalaza fa bandy eo amin’ny folo lahy eo ho eo no nanao ny fanafiahana, tsy misaron-tava ry zalahy ary mirongo fitaovam-piadiana mahery vaika toy ny basy sy antsy lava. Fianakaviana iray no lasibatra tamin’izany ka vola mitentina hatramin’ny 20 tapitrisa ariary niampy firavaka sy volamena no lasan’ireo jiolahy. Noho ny fahamaroa’ny mpanafika dia nisy ny tampim-baravarana  ka tsy afaka niantso vonjy ara-potoana ny voatafika. Ny manodidina no niantso ny mpitandro filaminana rehefa nahare ny tranga  saingy efa dila lavitra ireo olon-dratsy. Na dia mitohy hatrany aza ny ezaka sy fisafoana ataon’ny
Emmo-Reg, na antoandro na alina, eto Antsirabe dia miseho lany hatrany ny
tsy fandriam-pahelemana sy ny fanafiahana mitam-piadiana. Tsy kely lalana ny ratsy, hoy ny tompon’andraikitra, ka tokony ho mailo hatrany ny rehetra.

Andry N.

Ins.P.N.Mad : Des diplômes de Master Professionnel en formation paramédicale

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Une grande première dans le domaine de la formation paramédicale. Dans le souci d’améliorer les conditions sanitaires des Malgaches, la qualité de la formation au sein de l’Institut Supérieur Privé des Novateurs de Madagascar (Ins.P.N.Mad) a été améliorée. Ainsi, un partenariat technique dudit établissement avec la Société d’Anesthésie et de Réanimation de Madagascar (SARM) a été établi afin de révolutionner l’enseignement des Métiers des hôpitaux de la Grande Ile, en mettant en place une formation de base au niveau «Master». Dans ce sens, deux types d’écoles complémentaires respectant une philosophie et une logique de formation cohérente ont été créés et mis en service de la jeunesse malgache et étrangère, dont l’Ecole Privée en Paramédicale de l’InsP.N.Mad sis à Manakambahiny avec les spécialités : infirmier de bloc opératoire, infirmier urgentiste, et infirmier anesthésiste : réanimateur dont toutes les gammes de formation sont assurées par les membres de la SARM. Ce projet sera destiné à toute personne détenant le diplôme de Licence en Sciences infirmières et sages-femmes, dont la formation durera 2 ans avec des présentations de mémoire de fin d’études (M1 et M2). Ainsi, tout candidat ayant satisfait toutes les conditions pédagogiques requises décrocheront un diplôme reconnu par l’Etat : «Le Diplôme de Master Professionnel»  basé sur le système LMD de l’Etat. Selon les explications, tous ceux qui sont issus de ce cursus universitaire auront sûrement des postes au sein des différents services se rapportant au cycle de formation qu’ils auront suivis au service d’aide médicale urgente (SAMU), grâce à la politique de zéro chômage établie par l’InsPMad.

Année de l’intégrité. Pour les étudiants dans les Classes Préparatoires de Santé (CPS), (niveau bac), ils seront orientés suivant leur vocation, leur passion et leur ambition, suite à une comparution devant un «Conseil d’orientation pédagogique et professionnel», après des formations solides sur les bases de la paramédicale. Ainsi, tous ceux qui sont intéressés devront se soumettre à des évaluations pratiques et théoriques, suivies d’un stage d’imprégnation dans les hôpitaux, avant de rejoindre les Ecoles InsPNMad déjà habilitées par l’Etat, spécialistes en: Administration hospitalière, assistance sociale des hôpitaux, Secrétariat médical. Tout ceci, en respectant la trilogie de l’InsPNMad : «Santé, Compétence, Intégrité », qui devient pour le Groupe InsPNMad, « l’année de l’intégrité ».

Recueillies par Arnaud R.

Affaire grenade : Alain Ramaroson convoqué hier à Fiadanana

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A Fiadanana, dans les locaux de la section des recherches criminelles, l’enquête passe totalement en sourdine. Les limiers, issus des entités mixtes, explorent des pistes qui vont à l’endroit de plusieurs personnes. Des prisonniers de Tsiafahy,  des militaires en passant par des hommes politiques sont dans la liste des auditionnées. Hier, ce fut le tour du membre du Conseil Supérieur de la Transition (CST) Alain Ramaroson de monter au créneau. Une source proche de cette personnalité politique indique qu’il a été entendu dans le cadre de l’explosion mortelle de grenade à Anosy, le jour de l’investiture du nouveau président de la République. Respect du secret de l’enquête oblige, rien n’a filtré de la séance qui a pris presque la matinée à Alain Ramaroson, lui-même président de la commission de sécurité au sein du CST, une institution qui reste toujours en place jusqu’à la mise en place définitive des nouveaux membres de la Chambre haute. Comment se fait-il que l’enquête se tourne vers Alain Ramaroson ? La question tourne autour de ce nouveau rebondissement. Selon des bruits qui courent, lui et sa femme ont été les premiers arrivés à l’hôpital Hjra le jour de l’évacuation des blessés. Un tel  motif suffirait-elle, si c’est vraiment le cas, afin de le convoquer pour une enquête ? En tout cas, l’on a attendu, toujours d’une source proche de l’affaire, que les enquêteurs l’ont suggéré de collaborer si des informations relatives à cet acte mortel lui sont disponibles. Sur le même chapitre, une personne continue d’être en réanimation à l’Hjra. Elle arrive mal à respirer après le choc qu’elle a subi, selon de sources hospitalières. Les autres, dont la plus grave a été celle qui a vu sa jambe amputée, continuent d’être sous surveillance médicale.

Didi R.

Marathon de Bamako : Hajanirina Andriamparany finit très loin

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Hajanirina Andriamparany a raté le rendez-vous malien. Ayant participé à la sixième édition du marathon international de BOA Bamako, disputée dimanche à Mali, le marathonien malgache n’a pas fait le poids devant les autres coureurs et dont le classement n’est pas encore connu  au moment où nous mettions sous presse. Le Tanzanien, Ramadhani Nyonyi a remporté la course en réalisant un nouveau record de la compétition avec un temps de 2 h 21 mn 2 s et a décroche le gros lot de 1 000 000 de francs CFA. Le Kenyan, David Nthiga Njagi arrive à la deuxième place en signant un temps de 2 h 23 mn 23 s et le Ghanéen, Godwin Adukpo complète le podium avec un chrono de  2 h23 mn 43 s. Nous en reparlons à l’arrivée de la délégation malgache.

T.H

Prix à la consommation : Forte hausse pour les PPN, particulièrement le riz

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L’inflation risque d’être plus forte cette année, par rapport à l’année dernière.
L’inflation risque d’être plus forte cette année, par rapport à l’année dernière.
L’inflation risque d’être plus forte cette année, par rapport à l’année dernière.

Les prix à la consommation ont augmenté de plus de 6,7 %, en 2013 par rapport à la période précédente. Les produits locaux et les biens les plus utiles pour la grande masse sont les plus touchés par l’inflation.

Le prix du riz a grimpé de 11,2 % en fin 2013, par rapport à l’année 2012, d’après les informations publiées par l’Institut national de la statistique (INSTAT), dans son Tableau de bord économique. Les produits de première nécessité (PPN), dans leur globalité, ont également connu une hausse de 8,3 %. En effet, la baisse de la production interne, corroborée par la hausse constante de la demande a favorisé cette situation. Bref, les produits locaux ont connu des augmentations de prix plus fortes. Au niveau national, l’inflation relative aux produits locaux est évaluée aux alentours de 6,5 %, contre 5,5 % pour les produits importés. Les consommateurs ont également fait face à une hausse de 6,9 % sur les biens alimentaires. Si ces produits relatifs aux besoins organiques ont des variations de prix plus importantes, c’est à cause de leur élasticité par rapport à la baisse de la production.

Faible performance. Malgré la croissance démographique élevée, l’économie nationale n’a qu’un piètre taux de croissance de 2,4 % en 2013 ; alors que la prévision était à 2,8 %. Cette réalisation est d’ailleurs inférieure à celle de l’année 2012, qui a affiché une croissance de 2,5 %. D’après les spécialistes de la Chambre de commerce et d’industrie, cette croissance serait soutenue essentiellement par la performance des activités du secteur secondaire. Néanmoins, il faut reconnaître que le secteur des services s’est développé beaucoup plus. Cette tendance est d’ailleurs confirmée par la nature des activités des entreprises nouvellement créées. Par ailleurs, en ce qui concerne le secteur de l’agriculture, les problèmes liés à l’invasion acridienne, la vétusté des infrastructures hydroagricoles et les risques climatiques ont considérablement affecté les activités. En 2013, la production  agricole a baissé de 0,1 %, contre une hausse de 3,8 % en 2012. Malgré cette baisse de performance, le secteur primaire dans son ensemble a connu une croissance de 0,9 %, contre 1,5 % en 2012. D’après les explications. Le secteur de l’élevage, ainsi que celui de la pêche ont fortement contribué à cette croissance.

Intervention. L’inflation devait être très élevée, l’année dernière. Si le taux a été maintenu à 6,7 %, c’est grâce à l’intervention de l’Etat. Une intervention qui s’est prolongé sur le long terme, et qui va encore avoir d’importants impacts sur l’économie nationale de cette année. A noter que les prix à la pompe de carburant ont déjà connu de forte hausse cette année. Cette augmentation aura certainement des impacts sur le prix des autres produits et services, si on ne cite que le transport, qui compose d’ailleurs les coûts de revient des autres biens.

Antsa R.

Tapatapany

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# Isotry. Tovovavy maty nihinana poizim-boalavo. Tamin’ny faran’ny heriandro teo, tovovay iray no fantatra fa maty nihinana poizim-boalavo. Tsy nisy nahita azy nisotro an’io zavatra io fa izy efa nitsitra no nisy nahatsikaritra. Avy hatrany dia nentina tany amin’ny hopitaly. Tany no nahalalana ny zavatra nosotroiny. Ny voavoa no nahalalana fa vokatry ny famoizam-po.

# Ambatofotsy. Lehilahy maty nodomin’ny moto. Lehilahy lehibe 60 taona no fantatra fa maty nodomin’ny mota teny amin’ny faritra Ambatofotsy. Omaly no niseho izany. Tamin’ny fotoana niampitany no voadona izy. Mafimafy izany dona izany ary teny amin’ny faritry ny tratrany sy ny kibony no voa. Noezahina nentina tany amin’ny hopitaly nefa tsy tana ihany ny ainy.

 # Anjozorobe. Ankizy maty nodomin’ny fiara. Ankizy kely iray 4 taona no maty vokatry ny lozam-pifamoivoizana tamin’ny lalam-pirenena fahatelo ho any Anjozorobe. Taxi-brousse iray no voalaza fa nandona azy. Nipotsaka teo amin’ny arabe ny atidohany. Samy variana nizaha ny zava-nisy teo ny rehetra. Tamin’izay fotoana izay, saika handositra ilay mpamily fa tsy navelan’ny olona.

r.s.

Davida Rajaon, président de l’IEP : « La science politique n’a rien à voir avec la politique politicienne »

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Le président de l’IEP, Davida Rajaon (en costume clair au centre) lors de la remise d’attestation vendredi dernier à l’IEP.
 Le président de l’IEP, Davida Rajaon (en costume clair au centre) lors de la remise d’attestation vendredi dernier à l’IEP.
Le président de l’IEP, Davida Rajaon (en costume clair au centre) lors de la remise d’attestation vendredi dernier à l’IEP.

« Science politique, sociologie politique, politique publique, action publique, finances publiques, relations internationales ». Ce sont les thématiques qui ont composé le séminaire de Science politique organisé par l’Institut d’Etudes Politiques (IEP) du 13 au 18 janvier dernier. L’occasion pour le président de l’IEP Davida Rajaon de faire remarquer que « l’idée de créer un Institut d’Etudes Politiques a germé depuis longtemps ». Il a aussi tenu à souligner que « la science politique n’a rien à voir avec la politique politicienne ».

Parlementaires. Davida Rajaon exhorte d’ailleurs les politicienss notamment les parlementaires à suivre ce genre de séminaire qui a été animé par des hommes et …femme aux compétences reconnues dans leurs domaines respectifs. En l’occurrence, Christiane Rafidiniarivo, titulaire d’une HDR en science politique, politologue à l’université de La Réunion et professeur associé à l’IEP; Maxence Randriantoetra, ancien DG du Trésor et actuel DG de Microfinance;  Alexandre Randrianasolo, Inspecteur d’Etat, ancien DG de l’ENAM ; Hugues Février Rajaonson, docteur en économie ; Herizo Rakotonirina, magistrat au Tribunal financier ; Gil Dany Randriamasitiana, professeur de sociologie politique à l’université de Tana ; Raphaël Jakoba du Centre d’Arbitrage de Madagascar (CAM).

Certificat. Quant aux 23 participants, ils étaient pour une large part issus de différents départements ministériels (vice-Primature chargée du Développement et de l’Aménagement du Territoire ; Finances et Budget ; Affaires Etrangères ; Sports). Des représentants du CT, de collectivités territoriales et de la presse figuraient également parmi cette première promotion qui s’est vu remettre leur attestation vendredi dernier à l’IEP à Ampandrana où ils devront suivre 8 autres séminaires ou modules pour décrocher le Certificat de Hautes Etudes Politiques (CHEP).

R. O